Le blog de Anice Lajnef

Pour une économie en harmonie avec l’humain et la nature, il faut reprendre le pouvoir détenu par les plus cupides. Notre économie s’est bâtie au fil des siècles à la suite d'un compromis implicite entre d'une part les cupides et de l'autre les thésauriseurs. Il faut neutraliser les premiers en interdisant l’usure, et encourager les seconds à dépenser ou investir dans l’économie réelle.

De nombreuses personnes ne font pas trop de différences entre la création monétaire par les banques commerciales et la création monétaire par les banques centrales.

Il est difficile de faire admettre la nécessité de rembourser la dette écologique par une décroissance mondiale maîtrisée et temporaire. Il valait mieux être maître de son destin que de le subir aujourd'hui avec cette crise du coronavirus.

J'ai haï la finance quand j'y étais, mais j'ai été fasciné par les modèles mathématiques qui y étaient utilisés. Non seulement par leur sophistication, mais surtout par leurs imperfections.

Au lendemain d’une nouvelle baisse violente des bourse européennes, Christine Lagarde annonce : « Les temps extraordinaires nécessitent une action extraordinaire. Il n'y a pas de limites à notre engagement envers l'euro. Nous sommes déterminés à utiliser le plein potentiel de nos outils, dans le cadre de notre mandat. »

The purpose of this article is simply to explain the banking logic of financial capitalism, and to present an alternative beneficial for the common good as well as the planet. State must steer the economy not at the end of the cycle through arbitrable fiscal policies, but beforehand by acting on the credit rules.

« Il y aura un avant et un après coronavirus dans l'histoire de l'économie mondiale. Nous devons tirer les conséquences sur le long terme de cette épidémie en réduisant notre dépendance vis-à-vis de la Chine dans un certain nombre de secteurs stratégiques ». Cette phrase est de Bruno Le Maire, le ministre de l’économie.

L'objet de cet article est d'expliquer simplement la logique bancaire du capitalisme financier, et de présenter une logique alternative bénéfique pour le bien commun et la planète. L'État doit piloter l'économie non pas en fin de cycle par des politiques fiscales arbitrables, mais en amont en agissant sur les règles de crédits.

Macron raconte à qui veut l'entendre que l'argent magique n'existe pas. Les libéraux nous explique que les multinationales ont le droit de verser des dividendes records car cela relève du privé. Ces deux mythes sont des FAKE ! Explications...

Le réseau socio-économique que nous impose le capitalisme financier est construit sur la concentration de la confiance et de l'information sur des mastodontes économiques : banques, GAFA... Il faut revenir à une économie de proximité si nous voulons redevenir libres...