Blog suivi par 180 abonnés
Clarté à gauche pour (com)battre la droite et l'extrême droite
-
Vous avez dit décoloniser le colonisateur ?
“Est-ce qu’on ne devrait pas faire cette étude en Afrique, où il n’y a pas de masques, pas de traitements, pas de réanimation ? Un peu comme c’est fait d’ailleurs pour certaines études sur le sida, où chez les prostituées on essaye des choses parce qu’on sait qu’elles sont hautement exposées et elles ne se protègent pas ?” (le chef du service de réanimation à l’hôpital Cochin) -
La phrase du jour, la réflexion du moment
J'ai entendu ceci, ce matin, sur France Culture : "Il n'y a pas de décolonisation tant que le colonisateur ne s'est pas décolonisé". Cette phrase est du philosophe, qui se définit en fait seulement comme "penseur", Heinz Wismann. Indépendamment de ce qui s'exprime exactement de sa pensée dans ces mots, réfléchissons par nous-mêmes, pour nous-mêmes. -
Espagne. Le Coronavirus tue un irréductible antifranquiste... Billy el Niño respire !
Billy el Niño, Billy l'Enfant... Ironie terriblement amère du surnom. 'Chato' Galante : "C'est un tortionnaire compulsif, probablement l'image parfaite de ce que fut la répression de la dictature". 'Chato' Galante s'est battu comme un lion pour que son impunité (c'est un tortionnaire, non c'était...), comme celle de ses semblables toujours en vie, soit levée. Le Coronavirus a choisi son camp... -
Espagne-Catalogne, le conflit au temps du coronavirus...
Le gouvernement espagnol a décidé d'imposer aux Communautés Autonomes des mesures qui s'avèrent rapidement sous-estimer la crise sanitaire, en particulier sur la Communauté de Madrid, l'épicentre de celle-ci. Initialement isolé et critiqué pour son exigence de confinement de la Catalogne, le Président de la Généralité est désormais rejoint par deux présidents socialistes... -
Implacable "couronavirus" espagnol...
Il est un virus spécifique qui, dans une Espagne terriblement touchée, elle aussi, par le coronavirus, se révèle un révélateur de premier ordre ... du désordre des choses, en l'occurrence politiques. Dans l'instant où les masques médicaux s'imposent, d'autres masques tombent : cela concerne, chacun à sa façon, les membres du gouvernement "progressiste" confrontés au virus de la corruption royale ! -
Spectaculaire rassemblement indépendantiste de Perpignan...
L'impressionnante foule, venue du sud, qui s'est retrouvée à Perpignan samedi dernier a confirmé que, malgré la répression mais aussi la tentative du nouveau gouvernement espagnol d'entraîner l'indépendantisme dans des négociations nébuleuses, une grande partie de celui-ci, maintient le cap de la rupture avec l'Etat espagnol. Mais les moyens d'y arriver restent incertains... -
Espagne. In memoriam Puig Antich...
Chanson souvenir de 1977, trois ans auparavant, la dictature franquiste assassinait au "garrot vil" le jeune anarchiste Salvador Puig Antich. Ce fut la dernière "exécution'" du franquisme au "garrot vil" avec celle de son compagnon d'infortune le polonais Heinz Chez. Les responsables directs de cette monstruosité auront échappé à toute mise en examen et condamnation. -
Perpignan, capitale d’un jour de l’indépendantisme catalan !
Demain, samedi 29, février, des dizaines milliers de personnes recevront avec les honneurs, au Parc des Expositions de Perpignan, les indépendantistes députés européens, Carles Puigdemont, Clara Ponsatí et Toni Comín, reconnus comme tels par une Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) dans un cinglant revers signifié à la justice espagnole. Eléments d'analyse de l'événement à venir. -
Daniel Bensaïd, intempestif "actualisateur" du marxisme
Lecture vivement recommandée. Daniel Bensaïd mais aussi l'auteur de ce beau billet, Michael Lowy, qui a entretenu avec lui un fécond dialogue, ont déblayé le terrain d'un marxisme encombré de mille scories hétérogènes à sa matrice et détourné de ses axes théoriques et stratégiques qui en faisaient une philosophie de l'action pour l'alternative aux systèmes de domination. -
Espagne. Ministres antilibéraux d'un gouvernement social-libéral ...
L'économiste espagnol Daniel Albarracín aborde ici la nouvelle situation politique dans laquelle s'inscrit la constitution du gouvernement de coalition entre le PSOE, parti du régime, et la gauche antlibérale autour de Podemos. Son analyse cerne de près ce que ce gouvernement traduit de l'état des questions (non-résolues) : territoriale, économique, répressive...en somme, politiques.
- Page précédente
- 1
- …
- 8
- 9
- 10
- 11
- 12
- …
- 104
- Page suivante