Mačko Dràgàn

Journaliste punk-à-chat à Mouais, Télé Chez Moi, Streetpress...

Nice

Sa biographie
29 ans. Prolétaire vagabond colérique d’ascendance balkanique internationalisé. Anarcho-taoïste tendance Pessoa. Ouvrier paysagiste occasionnel et rétif au salariat forcé aux tafs alimentaires. Militant libertaire. Associatif tout-terrain (Pilule Rouge, Punk & Paillettes, Télé Chez Moi, Mouais,1 Rue Libre, Emmaüs-Roya DTC, etc.). Contact : mackodragan@gmail.com
Son blog
761 abonnés Ni égards ni patience. Le blog de Mačko Dràgàn
Ses éditions
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  • J’ai infiltré l’ultra-gauche pendant 35 ans

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    Je vous le révèle aujourd’hui : depuis tout ce temps, j’étais sous couverture pour un média de droite. Anarchistes, Insoumis, étudiants, zadistes, antiracistes, décoloniaux, féministes, gilets jaunes, aucun mouvement ne m’a échappé. Voici donc la vérité finale sur ces monstres (du latin « monstrum » : « avertissement »).
  • À toi qui m’a gazé ce 10 septembre, with love

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    photo de moi-même photo de moi-même
    Nos regards se sont croisés, ce 10 septembre. Avec tes collègues, tu chargeais et gazais le cortège pacifique où je me trouvais. Réfugié dans un hall d’immeuble, je t’ai vue. Puisse ces mots tendre d’anar’ aller jusqu’à ton cœur, et vaincre ce pouvoir qui t’emploie. Comme au Népal. « Nous irons sur la route avec les anarchistes. Et nous vaincrons d'amour la vie qu'on désaima » (Apollinaire).
  • Adieu François, et merci. Lettre à bye-Bayrou

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    Sans aucune ironie, oui, merci, François. Vraiment, merci. Ta glorieuse incompétence aura été la meilleure chose qui pouvait arriver pour révéler aux yeux du plus grand nombre la faillite de la Macronie, et la nullité politique abyssale de ce petit monde.
  • La mémoire des pauvres

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    Être pauvres, c’est un quotidien bien particulier, qui n’appartient qu’à nous. C’est porter en soi une mémoire plus vieille que nous. C’est un réseau serré, inextricable, d’angoisses, de joies, de rancœur, de folies, de rages. C’est tellement de choses en commun. Alors, on se retrouve ensemble le 10 septembre, et on bloque tout ?
  • Aidez-moi à financer une série de reportages en Amazonie et Equateur !

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    Pour changer des récits de mes aventures anarchistes, que je tâche de vous narrer ici avec verve (j'essaye) régulièrement (j'essaye aussi), je vais partir à l'automne traîner mes Docs avec mon amoureuse dessinatrice sur les routes d'Amazonie et d'Equateur. Au menu : chroniques, reportages, dessins, photos.... Alors, ça vous dit de filer un coup de pouce au journalisme libre et auto-financé ?
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  • Édition Abécédaire citoyen du Club 2024

    F comme Faire Feu

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    Dans mon ACABécédaire de fin d’été, je voudrais vous parler du feu. Faire Feu, Faire Front. Faisons Face à l’eFFondrement, aFFrontons les FaFs, Fuck les Foutus mégaFeux, et Fignolons nos Feux Festifs.
  • Édition Une oeuvre, un personnage : votre double et vous

    Ni Dieu ni maître, sauf le Gardeur de troupeau

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    Mon personnage préféré est un berger sans troupeau, qui est né et est mort dans l’esprit du plus grand génie poétique du siècle dernier, Fernando Pessoa. Il s’appelle Alberto Caeiro, il m’a tout appris de la sagesse, du bonheur, de la tristesse, de la nature et de l’anarchie, et il est mon seul maître : grâce à lui je sais qu’une fleur est une fleur et rien qu’une fleur, et ainsi soit-il.
  • Édition Mega-canicule en France : témoignez !

    Fait chaud, merde

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    Oui, pas très subtil comme titre. Mais une fois transformé en flaque, la subtilité, on n’a plus un endroit où se la mettre. Je rentre de chantier, j’ai chaud à en crever. Alors je vais juste hurler ma haine contre ces tarés qui ont fait qu’on en arrive là, et qui vont devoir le payer, comme dans Mad Max, et je le dis : contre les fortes chaleurs, hydratez-vous, ZAD partout, et tous à poil.
  • Édition Politique Fiction

    Balade dans Nice autogérée: lettre à une camarade du Rojava

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    «Des plantes et des arbres poussent librement ici et là, la plupart comestibles. Le goudron a été enlevé. Je croise une amie en train de s’occuper des ruches. Je la salue en la checkant du coude. Une autre passe avec son troupeau de brebis fromagères, qu’elle emmène paître sur la colline du Château, où pas mal d’anciens de la ZAD ont installé un campement.. »
  • Édition Des livres et nous

    Un conte pandémique et subversif d’Ascanio Celestini

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    « Il était une fois un petit pays. Un jour le petit pays fut frappé d’une grande épidémie ». Dans ce conte politique corrosif et brillant, de tonalité anarchiste, tiré de son merveilleux recueil « Discours à la nation », l’Italien Ascanio Celestini nous montrait déjà comment stopper la contagion : « La cause de l’épidémie, c’est vous, messieurs les présidents... »