Musique, ville et culture populaire

Un podcast consacré aux musiques populaires qui se racontent, aux scènes musicales des marges et chemins de traverse, plutôt qu’à celles des hit parades et autoroutes maintes fois empruntées par les stars consacrées des mass media.

Retrouvez un extrait de notre article "La série télévisée Treme : les voix polyphoniques de New Orleans post-Katrina" co-écrit avec Amélie Flamand paru récemment dans le recueil "Témoignages de la marge. Cultures de résistance" sous la direction de Anne Garrait-Bourrier et Philippe Mesnard.

Un rebond à la passionnante histoire des musiques créoles proposée par Bertrand Dicale. Où il est question d'hybridité, de sédimentation, d'invention, de dissémination, de circulation, de mouvement, de rhizome. Où il est question de musiques et de créolité.

Effervescences et HIGHLIFE ont imaginé le dimanche 8 octobre, à partir de 13h, un après-midi un peu ici, un peu ailleurs, avec la venue exceptionnelle d’un artiste majeur de la Martinique, Max Cilla. Toujours du soin et surtout du temps. Sonorités hybrides et créoles ouvrent l’horizon, avec également le duo Malik Adda & Joël Verdal et les dj sets du collectif HIGHLIFE.

Une publication radiophonique pour plonger dans la série TV Treme et se laisser porter par les musiques de la Nouvelle-Orléans...

Une journée d'étude rassemblant des chercheur(e)s, de enseignant(e)s, des musiciens, des artistes autour de la série TV Treme. Cette fiction novatrice interroge les liens, complicités et tensions entre espace urbain, patrimoine culturel et luttes sociales, avec, pour fil conducteur, la musique, véritable référentiel identitaire de la société urbaine néo-orléanaise.

Bab musique, en partenariat avec Videodrome 2, propose à Marseille le 16 mars, une soirée audiovisuelle dédiée à l'Afrique contemporaine, à ses musiques, à ses combats. La soirée propose une performance ciné-live avec Cotonouenmusique et la projection du documentaire Segtaab rap au pays des hommes intègres.

à partir de trois œuvres : "The Revenant" de Alejandro González Iñárritu, "Une colère noire" de Ta-Nehisi Coates et "L’art français de la guerre" d’Alexis Jenni