Quelques billets, quelques notes, pour partager mes interrogations, mes convictions et mes coups de sympathie, d'empathie ou d'indignation ! [sous le regard interrogateur de Mafalda sur le "monde", selon1…
Quino!] Ici l'image d'O Ardina à Porto, vendeur de journaux à la criée très populaire dans les villes de Lisbonne et Porto dans les années 50/60!
Par ARTHUR PORTO
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C'est peut-être cet ensemble que Cédric Kahn nous propose en adaptant au cinéma le "fait divers" du père kidnappeur qui a pris ses deux garçons (6 et 7 ans) au lendemain des fêtes de Noël en 1997. Pendant onze ans il va les cacher, errer au gré des circonstances dans le Tarne, La Haute-Garonne, l'Hérault jusqu'à Massat dans l'Ariège.
Par ARTHUR PORTO
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Il a raison M Bruckner, dans l'édition du Monde daté de ce jour, de s'insurger contre la tyrannie des idéologues qui s'opposent à la légitimité démocratique.Stefan Provijn (Belgique) in PortoCartoon
Quand il l'a écrit, Prévert (*), on était sortis de la guerre. On vient de la commémorer en se disant que depuis 60 ans nous vivons en paix. Nous oui, mais pas le monde! Et on pourrait répéter encore que la connerie continue et pour les marchands de canons et les propagandistes de fanatismes les affaires prospèrent toujours. Ce week-end, le Forum des Images a intégré dans son cycle, six films sous le thème de l'enfant et la guerre. Et ce lieu qui, en plein quartier des Halles à Paris, contribue à développer le goût, le plaisir du cinéma, fait aussi œuvre pédagogique en rappelant ces victimes des guerres des adultes.
Le récit de vie est parfois considéré, avec condescendance, une contribution sociologique. Mais la façon dont nous inscrivons sur la feuille blanche notre histoire ou ce dont nous avons retenu de notre expérience de vie, éveille le côté confidence, de journal intime, de parcours personnel qu'on donne à voir et qu'on veut faire partager.
Par ARTHUR PORTO
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Quand j'étais bien plus jeune, travaillant en usine, militant syndical, immigré de surcroît, les conditions étaient réunies pour qu'un stage de formation ouvrière me soit proposé fin des années 60. Entre autres interventions, celle de Henri Krasucki (dont je garde un souvenir ému) alors directeur de la Vie Ouvrière. Le thème, la presse de classe. Entre autres choses, il m'est resté un commentaire sur Le Canard Enchaîné, "journal que le patronat soutenait car il était anti-communiste et anti-ouvrier et que le pouvoir gaulliste tolérait".
Les ex-ministres ont le droit d'exprimer leur avis, leur désaccord, d'écrire des livres (souvent instructifs), de s'associer aux frondeurs, peut-être pourraient-ils même déclarer que leur Parti ne correspond plus ni aux valeurs de la gauche ni aux besoins de la majorité de la population de ce pays.
Par ARTHUR PORTO
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Comme son nom ne l'indique pas, l'hôtel-dit-social est le plus "indigne" des hôtels et le "moins social" des hébergements. Et pourtant dans les grandes villes et notamment à Paris et Région Parisienne, des milliers de familles y sont logés chaque jour, provisoirement, apportant de considérables profits à des propriétaires plus ou moins honnêtes, payés par les fonds destinés à l'action sociale dans chaque département.Le rapport que le Samu Social vient de publier
Par ARTHUR PORTO
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Marcher pour témoigner, marcher pour protester, marcher pour mobiliser, marcher pour soi. Et à chacun sa meilleure façon de marcher. C'est ce qu'elle a fait, Rosen Hicher, contre « le droit d'acheter une femme ».
Pour la troisième exposition, Lusofolie's (*) ouvre à nouveau sa galerie au Brésil. C'est Sonia Talarico, une brésilienne de Sâo Paulo, qui nous accueille dans une belle composition de couleurs et de formes autour du caracol (spirale), comme un jeu d'enfants, une "brincadeira", «un thème ouvert, optimiste, qui représente les rythmes répétitifs de la vie».
Il se passe toujours quelque chose à la Porte Dorée, dans le douzième arrondissement à Paris. Cette fois-ci, et pour la dixième "saison", c'est le Village de Cirque qui s'installe sur la pelouse de Reuilly à partir du 9 jusqu'au 19 octobre.