" A Marseille on se prépare au tri des patients faute de place en réanimation ", à travers cet article la question de l'éthique du tri sélectif des patients covid est soulevée. Une photo choc est proposée en tête de l'article. Qu'en penser.
Suite au hackage de mon compte insta, toutes mes photos nature ainsi que mes textes sur ce thème ont été supprimé. Face à cette violation de ma vie privée, je reécris mon travail.
Le droit de savoir ne peut-il être pacifique que s'il est cultivé au diapason du coeur ? Il me semble que la connaissance ne saurait être émancipatrice sans l'intelligence du coeur. Il y a dans ce monde une obession supérieure pour la connaissances et par défaut un délaissement des gestes du coeur. Que savons-nous vraiment sans intelligence du coeur ? Une technique ?
Pourquoi écrire. C'est certainement ce que l'oeil vicelard de la jalousie se demande. Cet oeil qui vous veut du tort et que vous devez combattre pour excercer votre liberté. J'écris parce que je suis une femme libre. Ça dérange d'être libre. D'aimer les mots. J'ai l'audace d'écrire.
Aujourd'hui rassemblement des occupant.es devant devant l'Odéon pour célébrer les six semaines de luttes - #OccuponsPartout- afin que la culture et ses artisans ne disparaissent pas en cette période de recession covid. Ce poème leur est dédié.
Pâques. Il pleut à Paris. Alors, je me plonge dans ce chapitre 12 les leçons de Standing Rock du livre de la journaliste américaine Noami Klein, Dire non ne suffit pas. De brillantes pages.
Un roc, un bloc. Les pierres du théâtre de l'Odéon à Paris, lieu occupé par la culture en résistance, ont répondu présent à l'appel de la lutte contre la non-essentialité de la culture décrétée par l'Etat en cette période covid. Rencontre au 26 ème jour de la lutte.