Ce blog est destiné à des éditos rédigés par mes soins autour des questions de société traitées à partir de leur rayonnement dans la culture Hip-Hop et plus précisément dans le rap français. A partir d'un…
angle philosophique, l'idée est de mettre en parallèle la pensée philosophique et la pensée rapologique.
Le film «Les misérables» de Ladj Ly est sorti ce mercredi 20 novembre. L'occasion de questionner en image la manière dont notre société considère sa jeunesse, la prend en compte et surtout la protège. Ce film qui évite tous les clichés et les conceptions manichéennes, nous oblige à penser la protection de l'enfance. Merci, Ladj Ly il était temps.
Après avoir vu dans la partie 1 comment le HipHop faisait expérience esthétique en tant qu'art à part entière, c'est sa dimension éducative qui est explorée davantage dans cette seconde partie. Quelles en sont les conditions de réalisation? Comment allier institution et liberté? Comment cette culture vient elle interroger les prérequis et règles académiques dans une perspective évolutive?
Si l'expérience esthétique est fondamentale dans l'éducation en générale et dans l'appréhension de l'histoire de l'art en particulier comme le montrait John Dewey, force est alors pour nous d'interroger comment les arts de la culture HipHop y participent. Comment oeuvrent-ils aussi pour le patrimoine de l'humanité? Comment les utiliser dans une perspective éducative?
Occasion ultime de se donner à voir sous son meilleur jour, l’été vient avec son lot d’exigences sociales auxquelles chacun se soumet sans les questionner. A croire qu’été comme hiver, l’enjeu est toujours le même : rentabiliser son temps et surtout ne pas prendre le temps de penser. On perd sa vie à la gagner disaient certains…
Alors que Yerim Sar était mis à pied la semaine dernière pour propos sexistes et malgré sa réintégration surprise, cette affaire interroge le décalage de traitement entre les chroniqueurs du service public selon qu'ils soient généralistes ou spécialisés, «urbains» ou académiques.
Plus question d’évoquer l’utilité sociale ou le collectif sans être taxé d’utopiste, voire d’extrémiste. Pensée unique s’il en est, difficile de ne pas y voir une inversion dramatique de l’être et de l’avoir. Pourtant, il ne s'agit pas d'une fatalité si l'on prend le temps d'y réfléchir.
Face à la déferlante PNL, difficile de rester de marbre. Qu'on aime ou pas, le groupe des frères Andrieu fait parler d'eux et fait événement à chaque sortie de clip. Force est donc de constater qu'il s'agit d'un phénomène et à ce titre, oblige à la réflexion.
Nous, collectif de femmes de toutes confessions, avons souhaité réagir suite à la énième polémique sur le voile sur la toile ces derniers jours. Aspirant à ce que toutes les femmes, voilées ou non, cessent d'être suspectées de soumission et exclues du débat public, nous avons pris l'initiative de cette tribune pour proposer un autre son de cloche que celui de la peur des voiles.
Les 18, 19 et 20 janvier prochain se tiendra la quatrième édition du Scred Festival sous la bannière thématique de "Walking scred". Est-ce à dire que le HipHop s'apparente désormais à un mort-vivant revenu hanter nos esprits ? Doit on avoir peur de ce monstre ? Cette monstruosité est elle construite? Que signifie-t-elle?
Comme dans un couple, la citoyenneté est dialogue. L'engagement réciproque tient à cette confiance en l'autre, ses capacités d'écoute et de compréhension. Or, la fracture actuelle n'est-elle pas l'expression d'un sentiment de ne pas être suffisamment entendu, compris, considéré? N'est-ce pas le lit d'un divorce proche ? Peut-on encore l'éviter sans entendre le point de vue de l'autre?
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