Une fois de plus, la crise politique issue de l’expérience de la pandémie nous pousse à nous questionner sur les logiques politiques dans lesquelles nous vivons. Il nous faut nous interroger sur les nouvelles formes que prend, aujourd’hui, la résignation et la colère, ces deux modes de confrontation au politique.
Le vocabulaire politique est un de ceux qui changent le plus vite, à la fois parce qu’il est très sensible aux évolutions de la vie sociale et politique et parce qu’il est très soumis aux pouvoirs. Un nouveau mot a, ainsi, fait son apparition, dont il importe que nous parlions : « pandémictature ».
Les politiques engagées dans de nombreux pays dans le cadre de la prévention du Covid-19 nous amènent à réfléchir à l’articulation entre économie politique, santé publique et morale.
L’année 2020 vient de s’achever, et, et avec elle, se sont achevées aussi les commémorations du congrès de Tours du parti socialiste, à l’issue duquel les communistes ont quitté ce parti pour fonder le Parti communiste français. Sans doute est-il temps de s’interroger aujourd’hui sur ce qu’est devenu le projet communiste.
La semaine dernière, nous avions abordé ici la question de l’espace méditerranéen et de son devenir. Nous souhaitons poursuivre ce questionnement aujourd’hui.
Il y a quelque temps, nous avions abordé ici la question de l’espace méditerranéen et de son devenir. Nous souhaitons questionner aujourd’hui ce que pourrait être une identité méditerranéenne dans le monde contemporain.
À propos du discours de J. Castex du 10 décembre
Le premier ministre a présenté les nouvelles mesures prises par le gouvernement face à la persistance du Covid-19, et, il faut bien le dire, à l’inefficacité des premières mesures prises par l’exécutif.
Il y a une petite erreur de langue, comme souvent dans le discours politique, autour du choix des mots : ce que l’on appelle, en ce moment, « masque » est, en réalité, un bâillon. Un masque cache le visage, mais laisse en général la bouche ouverte, alors que ce qu’on nous oblige à porter en ce moment nous empêche de nous exprimer clairement.
Des événements récents comme des inondations et des débats en cours sur le coût de l’énergie et sur ce que l’on appelle la « transition énergétique » engagent à une réflexion critique plus approfondie sur les usages contemporains de l’eau et sur les différentes formes d’énergie qui sont proposées.