Le blog de Bringuenarilles

On continue de jeter de l'huile sur le feu. Pourquoi?

Pour ceux et celles qui aiment cheminer, ce loisir est souvent synonyme de liberté. Le randonneur aime généralement à penser que, ça au moins, on ne pourra pas le lui voler: les chemins où il va.

Le capitalisme n'est plus désirable, il est de moins en moins vivable, et il le sait. Mais évidemment, la bête assiégée est toujours plus dangereuse que celle qui se croit à l'abri. Macron est, en France, le pathétique révélateur de ce moment.

Plus aucun lieu n'échappe à la destruction. Là-bas la guerre, stricto sensu, menée directement contre des êtres humains.

Taxer les riches permettrait de dégager, à l'échelle mondiale, 2520 milliards. Avec cette somme, il serait possible de lutter contre des inégalités devenues insupportables et menant nécessairement aux violences ("pitchforks"). Ce ne sont pas d'affreux gauchistes qui disent cela.

Il faut regarder, mais sans trop d’attention, les auditions des dirigeants de l’ORPEA.

La répression des Ouïghours existe au Xinjiang. Elle relève très probablement de la qualification juridique de « crimes contre l’Humanité ». Mais ce sont les chercheurs et les juristes qui doivent déterminer et les faits et leurs qualifications juridiques, et ce le plus indépendamment possible, c’est à dire à l’écart des pressions américaines ou chinoises.

On a planifié l'assassinat de Bruno Gaccio. Dans cet entretien donné à Elucid, il revient sur le dossier "homo", monté par Pierre Martinet et dont il a pris connaissance lors du procès qui l'a opposé à Canal+. Il revient sur son parcours, l'humour en milieu médiatique, la liberté -relative- qui fut y la sienne, et son engagement auprès de l'Union Populaire.

Je transforme un petit commentaire fait à Toussaint en ce petit billet sur la notion de "privilège blanc".

Le monde semble mûr.