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De l'attente, de l'inattendu et des rebondissements.
C'est plus un parcours de vasectomie, c'est un feuilleton qui a eu tendance à trainer un peu en longueur.
Mais voilà, le boss final est passé et la vasectomie, comme Capri, c'est (enfin) fini.
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Il fallait que j’écrive parce que je ne sais pas quoi faire de ma colère.
Ca monte depuis le début du confinement, ça se calme, ça revient par vague, un peu comme une épidémie de COVID-19, tiens.
Et là depuis la dernière « allocution » du Président de la République, ça déborde.
Littéralement, ça déborde.
J’ai envie de tout casser.
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C'est long 3 mois mais le jour du nouveau rendez-vous est ENFIN arrivé.
De la routine, des papiers et un rebondissement : c'est la 3e étape du parcours vasectomie.
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Devant le peu de témoignages disponibles sur la vasectomie, j’ai décidé de relater mon parcours en quelques billets. Par la même occasion, si cela peut contribuer à faire sauter le pas à quelques messieurs, soulager quelques dames et éviter quelques naissances ce sera toujours ça de gagné. Voici la deuxième étape du parcours : le rendez-vous avec l'urologue...
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Devant le peu de témoignages disponibles sur la vasectomie, j’ai décidé de relater mon parcours en quelques billets. Par la même occasion, si cela peut contribuer à faire sauter le pas à quelques messieurs, soulager quelques dames et éviter quelques naissances ce sera toujours ça de gagné. Voici la première étape du parcours : le rendez-vous avec le médecin traitant.
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A des degrés divers, nous avons toutes et tous été affectés par l'incendie de Notre Dame.
C'est bien la moindre des choses : assister en direct à la destruction d'un des monuments les plus emblématiques de la capitale, ça fait un choc. Notre époque étant ce qu'elle est, au choc a bien vite succédé une jolie série de n'importe quoi ainsi que quelques révélations.
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Au moment où toute la France célèbre la victoire des bleus dans un beau moment de communion nationale, il peut sembler pour le moins ingrat de ne pas participer à la liesse collective.
Et pourtant, parfois le passé vous rattrape et vous vous souvenez pourquoi vous avez un peu de mal avec le foot.
Parce que c’est notamment au foot que ça a commencé.
À faire mal.
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Ce week-end de septembre, une fois encore, le « peuple » est descendu dans la rue pour protester, se compter, montrer son insoumission.
Une « démonstration de force », une "mobilisation réussie", pour les organisateurs.
Mais toujours la même question qui se pose à moi : « Défiler, et après ? ».
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Je vais profiter de ma gueule de bois de compétition pour dire quelques mots sur le second tour (sorry c'est un peu haché c'est tiré d'un thread sur Twitter).
Notamment parce que je vois passer pas mal de trucs qui me hérissent un peu le poil.
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Etrange expérience.
Je suis mort de honte.
Je ne supporte pas le sort que la France et l'Europe réservent aux réfugiés.
Tout ça sous mon regard impuissant. Avec la bénédiction de mon vote.