L’Union Européenne est le premier contributeur mondial de l’aide au développement. Les modalités de mise en oeuvre selon des logiques bureaucratiques libérales contribuent à l'affaiblissement des droits économiques et sociaux en Afrique
Hélas on ne voit pas trop où sont les Aristides Briand contemporains, on ne les entend pas, la jaquette gallicane d’Emile Combes est devenue l’habit laïciste de la plupart de nos responsables politiques.
Article publié dans le magazine Golias décembre 2016
Christophe Courtin publie chez Golias son dictionnaire des idées reçues du développement. Se réclamant à la fois de Léon Bloy et de Flaubert, la plupart des mots de l’aide au développement (350 environ) passent sous son marteau, et il les casse, un peu comme Nietzsche faisait de la philosophie.
Ma page face book est le théâtre d’opération d’une bataille de la représentation de la réalité. A part un dérisoire « j’aime, j’adore, waow, snif ou grr » faut-il que j’ajoute un commentaire à cet immense bruit ? Ma page est-elle devenue cette « histoire dite par un idiot, pleine de bruit et de fureur et qui ne signifie rien" Article publié dans la revue Golias du 5 au 12 janvier 2016
Article publié dans la revue Golias N° 458 8 au 14 décembre
Si Nicolas Sarkozy est le fil conducteur de cette chronique du mandat du 6e président de la 5e République, il n’en est pas le thème central.
« Pauvre : ne pas lui donner de poisson. » Idées reçues, lieux communs, pensée molle, facilités de langage, discours convenus, enflure des mots : en un mot la bêtise. Et si cette dernière était en définitive la raison profonde de l’échec des politiques de développement en Afrique depuis plus de cinquante ans ? C’est ce que l’on comprend en lisant les définitions des 350 mots du développement.
Lisons ce que le Coran dit. Lisons le bien. Avec nos outils intellectuels qui font notre humanité. Article publié dans la revue Golias (Lyon n°443 semaine du 29 juillet au 3 août)
Le bilan africain final de François Hollande se dessine. Le président sortant, s'il se présente, en fera-t-il un enjeu électoral qu'il mettra à l'actif de son bilan ? On ne le lui conseillera pas.
Article paru le 1er juillet dans la revue Golias