Comment dire les choses proprement mais fermement ?
C'est tout de même la crise la plus grave que nous connaissions entre l'institution militaire ( Chef d’état-major des armées ) et les politiciens depuis 1961.
C'est un petit épicier niçois qui travaille comme un fou sans compter ses heures, et qui arrive à vendre pas mal de choses à des heures où les autres sont fermés, à des prix pas forcément plus chers.
J'ai bien écrit: "pas forcément plus chers". Il faut arrêter les préjugés et regarder les étiquettes. Souvent, il est au même prix, voire moins, que la grande distribution voisine.
Un mois quasiment d'arrêt-maladie pour ce que le chirurgien a qualifié aimablement "entorse sévère". Un mois pratiquement sans pouvoir bouger, et où mes horaires de sorties autorisées c'était pour faire joli sur le certificat médical, vu que sortir sur un seul pied... ce n'est pas facile.
Comme par hasard, c'est à ce moment-là qu'un ami décide de sortir son troisième roman policier.
« Ne frappe pas une femme, eût-elle commis cent fautes, pas même avec une fleur. » disaient les lois de Manu (Mânava dharma çâstra ) en Inde il y a plus ou moins 2.000 ans. Cet adage antique, peut-être jugé trop machiste, est parfois oublié dans notre monde qui se veut moderne.
Tant qu'à être d'astreinte, autant être utile, en prenant le temps de passer voir les bénévoles de l'association Mir qui avaient réussi à "améliorer" un tant soit peu le repas donné à nos amis de la rue ce 24 décembre 2016 à Nice.
Apparemment Facebook n’arrive pas à trouver « Avanzà », le dernier livre de Jean-Guy TALAMONI qui est paru en octobre 2016. Vous apprendre que je l’ai lu n’étant pas la nouvelle de l’année, du mois ou de la semaine, nous allons tous y survivre, mais c’est agaçant. Agaçant car j’aurai bien aimé avoir l’occasion d’en dire un mot.
Jean-Guy TALAMONI est, en tant qu’auteur, quelqu’un d’intéressant.
Un très bon livre de Laurent OBERTONE sorti le mois dernier: Guérilla.
415 pages, mais qui se lisent d'une traite ou presque (21h00 - 02h00 du matin)
C'est un roman, qui n'est pas sans remettre en mémoire celui de Jean RASPAIL en 1973, le célèbre "Le Camp des Saints".
Ce sont des instructions écrites sous forme de message que je donne à des subordonnés pour faire face à des personnes dont le moins que je dise est qu'elles sont "difficiles", en externe comme en interne.
Pour satisfaire à mes obligations de réserve et de discrétion, je ne donne pas le nom de l'établissement concerné et j'ai rendu génériques plusieurs noms.
Après des débats sereins et même disons-le d’une qualité qui honore la Justice, la décision de première instance est rendue :
2 ans de prison ferme contre le principal auteur des faits, et des peines de prison avec sursis contre les autres personnes impliquées, avec des peines plus lourdes concernant les deux Siscais accusés que celles concernant les autres Marocains impliqués.