Au fil de l'eau, la remise à disposition d'informations tirées de la presse, des statistiques ou des sites internet russes sur la situation sociale en Russie.
Quelques mots sur les « entreprises sociales en Russie », et sur l'une d'entre elles, « Un avoska donne de l’espoir », qui fait le pont entre un passé soviétique et un avenir solidaire.
Quelques statistiques sur la population pénitentiaire en Russie, plutôt rassurantes, avec cependant une augmentation du nombre des personnes condamnées pour des délits liés aux stupéfiants.
Une information sur de possibles contrôles du respect des droits dans les centres de rétention et les établissement médico-sociaux, et au passage un petit portrait de Tatiana Moskalkova, déléguée aux droits de l’homme de la fédération de Russie, qui n’est pas « experte du social », mais qui y a son rôle.
Quelques éléments sur les statistiques des décès causés par le covid-19 en Russie, et les doutes et les débats qu'ils soulèvent. Et un appel, malgré tout, à ne pas espérer qu'ils soient élevés pour pouvoir penser « je l'avais bien dit ».
Les interruptions volontaires de grossesse sont autorisées par la loi en Russie, mais les obstacles s’accumulent en période de pandémie. Et l’Église orthodoxe demande un moratoire.
Quelques mots aussi sur un « héros de notre temps », le docteur Alekseï Nikolaïevitch Vasiltchenko. Et des chiffres sur l'épidémie dans le kraï de Krasnodar qui montrent que son combat n'a pas été vain : la réponse à l'épidémie s'y est organisée.
Un second exemple de celles ou ceux qui s’expriment sur les questions sociales en Russie, et transforment son système d'aide sociale. Ielena Alchanskaïa est présidente de la fondation « Volontaires pour aider les enfants orphelins »