Espérons que le courage politique de la Garde de Sceaux lors du mariage pour tous ne soit pas éclipsé par la réforme de l'aide juridictionnelle qui semble devenir « l'accès à la justice pour certains ». Le projet de loi de finances 2016 propose en effet une réforme qui se veut généreuse, en apparence, puisqu’on annonce cent mille bénéficiaires supplémentaires et une revalorisation de la rétribution des avocats.
Face à la place croissante des discours sur la sexualité et de certaines de ses pratiques, « L’Eglise ne peut demeurer indifférente à cette confusion des esprits et à ce relâchement des mœurs. Il s’agit, en effet, d’une question de la plus haute importance pour la vie personnelle des chrétiens et pour la vie sociale de notre temps »[1]. C’est dans ce cadre général que le Vatican entendait intervenir en matière d’homosexualité.
Il y a 70 ans, le monde découvrait, avec Auschwitz, l’horreur de l’entreprise nazie. Parmi les victimes de cette machine de mort se trouvaient des centaines de milliers de gays et de lesbiennes. Pour ne pas permettre que l’oubli ou la banalisation effacent de notre mémoire collective ces événements, voici un bref rappel de ces faits atroces.
Ce n’est que vers la fin des années 1990 que le terme homophobie apparaît, pour la première fois, dans le dictionnaire de langue française. L’invention du mot semble appartenir aux psychologues étatsuniens K. T. Smith et G. Weinberg qui ont utilisé le terme pour la première fois au début des années 1970.
A écouter les autorités du nouveau parc zoologique de Paris, les bêtes sauvages ne demanderaient qu’une chose, c’est de venir s’enfermer à Vincennes : « Reconstitution des milieux naturels », « acclimatation des espèces », « possibilité de laisser les animaux s’exprimer comme dans la nature », « protection des espèces menacées »…