La mort d’hommes ou de femmes est toujours une tragédie qui doit interpeller tous les citoyens. Quand ces morts surviennent parmi les personnes les plus en difficulté, notamment des étrangers sans papiers, des migrants vivant dans la rue ou dans des squats inhumains, questionner la responsabilité des autorités, nationale ou locale, est normale. Tenter de répondre aux interrogations est un devoir.
Alors que nous traversons actuellement une crise sanitaire mondiale liée au COVID-19, nous vivons une autre crise mondiale, moins visible mais tout aussi prioritaire, celle de l’accueil des migrants et de leurs conditions de vie inhumaines.
Emmanuel Macron et son gouvernement ont décidé de passer en force en utilisant l’article 49.3 de la constitution.
La réforme des retraites a été adoptée par l’Assemblée nationale, malgré le dépôt de deux motions de censure, dont celle portée par les député·es du Parti Communiste Français et de La France insoumise.
Comme des portes tournantes débouchant toujours sur le même vide, on doit périodiquement subir l’encensement médiatique d’un nouvel ouvrage prétendant révéler que nos quartiers populaires sont perdus pour la République, parce que gagnés par une religion minoritaire.
Jeudi 31 octobre, le Premier ministre Edouard Philippe a annoncé des mesures pour la Seine-Saint-Denis portant sur l’Education, la Santé, la Justice ou encore la Sécurité.
Frida Kahlo, Vandana Shiva, Malala Yousafzai, Charlotte Delbo, Françoise Dolto, Taos Amrouche, Wangari Maathai, ces femmes ne sont pas inconnues à Aubervilliers et pour cause, des écoles de la ville portent leurs noms.
Les périodes de canicule de cet été que nous avons vécues en France viennent nous rappeler au sens des responsabilités, pour les années qui viennent, sur les urgences de la transition écologique.
A l’échelle du local, la Municipalité continue de poser les jalons d’une politique volontariste en faveur d’une amélioration de la qualité de l’air et de la préservation de l’environnement.
Les mouvements sociaux de ces derniers mois ont permis de remettre en lumière le lien entre les revendications sociales et écologiques.
Se mobiliser en faveur de la préservation de notre environnement, c’est ainsi protéger les populations fragiles qui vivent dans les villes populaires comme la nôtre.
Le projet de loi Blanquer, dit d’« école de la confiance », voté à l’Assemblée nationale en première lecture, suscite de vives inquiétudes de la communauté éducative et des parents d’élèves.
e partage ces craintes.
Manifester est une liberté fondamentale. Parce que c’est une conquête des peuples, et non une faveur du pouvoir, elle doit s’exercer sans interdiction. Il faut un grain de folie autoritaire pour l’oublier et, comme Emmanuel Macron, prétendre rappeler à la « sagesse » une manifestante retraitée, blessée par les forces de l’ordre.
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