Stress, pression. Et parfois suicides... Cette édition s'adresse à tous ceux qui veulent débattre du travail, de ses nouvelles formes d'organisation et des pathologies qu'il peut engendrer. Elle vise1
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à collecter des témoignages, à mettre en avant les travaux des chercheurs sur les conditions de travail et à faire connaître des intiatives intéressantes pour réduire le stress au travail.
Si des employeurs comprennent que la santé au travail est un investissement et non une dépense, le MEDEF reste campé sur une vision du passé en muselant le dossier de la santé au travail par des artifices à la mesure d'un suppositoire : "beaucoup d’excipients pour peu de médicament". Une involution qui sera préjudiciable à tout le monde du travail.
« Le voyou de la République » était le titre du journal Marianne pour dénoncer le comportement de Nicolas Sarkozy en 2010. Depuis, les choses ne se sont pas arrangées. Aujourd’hui, ils agissent en bande organisée et Olivier Véran, va sans doute dépasser Sibeth Ndiaye dans le hit parade des absurdités gouvernementales. Voyez-plutôt.
Entre les discours du gouvernement et la réalité, la discordance est partout. Défendre l’hôpital public en supprimant des lits, ou bien encore, qualifier de « mort COVID-19 » tous les décès sur des personnes testées positives avant de décéder, sont deux exemples qui permettront de comprendre pourquoi le gouvernement sera à l’origine de la renaissance du printemps en 2021.
Dans ce texte je souhaite démontrer les écarts, la rupture, l'inadéquation entre les discours, les mesures adoptées par le gouvernement et la réalité des faits, tels qu'ils sont exposés par l’INSEE. À la fin de la lecture me voilà apaisé, y compris dans mon territoire de Saint-Pierre-et-Miquelon.
L’actualité de ces derniers mois renforce la désagréable impression de l’assujettissement du peuple. Il m’est apparu intéressant de reprendre un texte que j’avais publié en 2012, comme une balade chez quelques auteurs qui ont marqué mes incertitudes. Il ne s’agit pas de juger quiconque, mais de décrire un état de fait qui peut conduire à la réflexion, sans pour autant connaître la réponse.
« Quand ça va bien, ils s’enrichissent et, quand ça va mal, ils s’enrichissent ! » La fortune des quelque 2.200 milliardaires dans le monde a progressé de 27 %, pendant le confinement. En même temps, un million de personnes a basculé dans la précarité depuis le début de la pandémie, qui s’ajoutent ainsi aux 9,3 millions de personnes vivant déjà au-dessous du seuil de pauvreté !
C'était le 13 septembre 2020. L'ARS de la région Centre publie le nombre d'hospitalisations COVID-19 par département. Le même jour ,Santé Publique France publie les chiffres pour les mêmes départements, mais ils sont majorés de 52% ! Pourquoi ?
En observant les dernières études de l'INSEE, j’ai la désagréable impression de constater que la lutte contre la pauvreté d’Emmanuel Macron, c’est un peu comme la sauvegarde des abeilles par un fabricant de pesticides !
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire la première partie du dernier livre de l’économiste Thomas Porcher « Les délaissés ». Il expose les causes économiques de la souffrance au travail. En matière de prévention des risques professionnels il faut remonter à la causes des causes. Nous y sommes.