Depuis 2008, Mediapart couvre le festival de «musiques du monde» d'Arles, Les Suds, chaque été.
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Plein Suds
À propos de l'édition
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Ti Coca à la Radio des Suds
TiCoca à la Radio des Suds © MediapartQuand on les interroge, ils n'ont pas de meilleur mot pour définir leur musique que «troubadour». TiCoca & Wanga Nègès viennent pourtant d'Haïti où l'on cultive plutôt la transe vaudou et les merengués langoureux. -
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Le disco balkanique de Shantel
Mondomix présente Shantel aux Suds à Arles © MONDOMIXLe concert du 14 juillet, à Arles, filmé par Benjamin MiNiMuM, rédacteur en chef de Mondomix. Shantel, DJ allemand, entouré de deux violons, une trompette, un trombone, un accordéon, un batteur et deux chanteuse. -
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Les guitares un peu sèches de Rod y Gab
Quand Siouxsie and the Banshees entraient sur la scène du Royal Albert Hall, ils avaient choisi de passer Le Sacre du printemps de Stravinski. Façon de signifier: «attention, ici, on ne fait pas du punk pour bourrins, on fait de la new wave qui pense». Quand Rodrigo y Gabriella arrivent sur les tréteaux du théâtre antique d'Arles, ils choisissent des riffs saturés et une basse distordue. Avec là aussi un message très clair: «Nous ne sommes pas là pour donner dans le folklore». -
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Rajery, missionnaire de la harpe malgache
Germain Randrianarisoa. Ecrivez Rajery, prononcez Radzir’. Petit homme au visage fendu d'un sourire immense. «Missionnaire», dit-il, de Madagascar et de sa harpe tubulaire tendue de câbles de frein de vélo en guise de cordes, et au corps de bambou grand presque comme lui. -
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Les râgas électro de Vivek (Inde)
Chaque jour pendant le festival Les Suds à Arles, les musiciens qui joueront le soir viennent donner un avant-goût sur les bords du Rhône. Mercredi 15 juillet, Vivek Rajagopalan (Inde) a donné un set acoustique avant le concert râgatronique de la nuit. -
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Nidal Al-Achkar (Liban): exil, tours et retours
Quatorze comédiens, tous en scène pendant l'heure et demie de la pièce. Huis clos. Un fond de scène mouvant, obtenu par projection de décors, de photos, de dessins. Le texte d'Issa Makhlouf et des parties chantées, dansées. Ah oui! Le surtitrage aussi, car Longue était la nuit aux portes de l'ambassade est jouée en arabe. -
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Bon plan
Les adresses des festivités des Suds à Arles. -
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50 cent vs Bajonfondo
Bajofondo and 50 Cent © KameraMusikOn appelle cela «mashup» ou «bastard mix»: le fait de mêler deux morceaux, de synchroniser les tempos, de caler les pistes et d'accorder («tuner») les deux sur la même gamme, de préférence en choisissant des genres aussi éloignés que possible (The Strokes vs Christina Aguilera, Missy Eliott vs George Michael, Public Enemy vs Royksopp...). -
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Metalenco: Rodrigo y Gabriela
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Le balafon à fond d'Aly Keita
Borodomborola avec le groupe Super Zamaza - Aly Keita © ph Improductions - Le salon de musiqueC'est l'histoire d'un bœuf qui a bien tourné. Aly Keita, balafoniste malien basé à Berlin, qui ne déteste pas confronter ses polyphonies africaines aux musiciens d'autres tradition: Omar Sosa, Rhoda Scott, Paulo Frésu… Olivier Renne, batteur de jazz admirateur de John Coltrane (il a joué avec son pianiste Mal Waldrone, avec le saxophoniste — alto — free Byard Lancaster...).
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