Ils sont nombreux ceux qui, au coucher, au réveil, ont vécu ce harassant épisode de « paralysie du sommeil » au cours duquel une conjonction paradoxale de la veille cérébrale et de l’inhibition corporelle crée un état de « conscience de mort »
Ils sont nombreux ceux qui, au coucher, au réveil, ont vécu ce harassant épisode de « paralysie du sommeil » au cours duquel une conjonction paradoxale de la veille cérébrale et de l’inhibition corporelle crée un état de « conscience de mort »...
Dire de l'œuvre de Michel Maffesoli qu'elle donne depuis longtemps des clés de compréhension des évènements en cours en France est peu dire. Il importait qu'il rappelât ici quelques-unes de ces clés.
« Il y a, pour chaque homme, un nuage qui commence par une vapeur transparente et s'épaissit rapidement devant sa vue de son avenir. Ce nuage est commun à tous. Il est comme tous les nuages de la couleur de l'heure même », écrit Valéry dans son "Poésie perdue".
Le crocheteur est un arpenteur.
La régularité de son geste est mesure parce qu’il est rythme. L’itération ostinato du geste du crocheteur est mesure de son temps et de celui du public, que son goût exclusif du produit de "l’ars" distrait de l’atelier.
Antônio Frederico de Castro Alves (1847-1871) est le grand poète abolitionniste brésilien. Son oeuvre est esthétiquement sise entre celles de Victor Hugo et d'Arthur Rimbaud.
L'on traduit ici l'un des poèmes de son recueil Les Esclaves, de 1883, qui paraît aujourd'hui pour la première fois en français chez Gwen Català éditeur.
Qui se souvient de Maria Pierina De Micheli, cette femme étrange dont la vie tout entière se voua à la Sainte Face, à l’impression d’une aliénation du Logos en visage sur la matière phénoménale du monde ?