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Un week-end à l'Est

Festival pluridisciplinaire du 18 novembre au 1er décembre
Paris - France
  • Les possibilités infinies du violoncelle d'Artyom Manukyan

    Ciné-concert, performance solo, quartet de jazz avec ses amis : les prestations du violoncelliste érévanais Artyom Manukyan à la prochaine édition du festival Un week-end à l’Est sont aussi diverses que son approche éclectique du violoncelle, dont il nous parle en interview.
  • « Si le vent tombe » : raconter un pays qui n’est pas

    Par | 1 commentaire | 10 recommandés
    En 2009, en visite pour la première fois dans le Haut-Karabagh, la réalisatrice Nora Martirosyan retrouve une république organisée, peuplée d’Arméniens depuis des millénaires, aussi absente de Google Earth qu’ignorée des instances juridiques internationales. Une absurdité, nous confie-t-elle, qui inspirera son premier long-métrage présenté le 22 novembre prochain au Christine Cinéma Club de Paris.
  • Rima Pipoyan : « Je tombe amoureuse chaque fois que je crée »

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    Rima Pipoyan, figure de proue du ballet moderne et de la danse contemporaine en Arménie et marraine de cette édition du festival Un Week-end à l’Est, nous livre un entretien sur son rapport à la danse et sur ses projets, dont sa performance très attendue avec le multi-instrumentiste Hayk Karoyi le samedi 23 novembre à la Maison de la Poésie à Paris.
  • Retour à Erevan

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    « Le Getar ne tarira pas, le Getar coulera avec l’émotion de quarante printemps », écrit Aram Pachyan dans un passage de son roman P/F qui sera lu en ouverture du festival Un Week-end à l’Est ce 20 novembre au théâtre de l’Alliance Française pour sa huitième édition consacrée à Erevan en Arménie. Insufflant un second souffle à sa ville qu’il dit ne jamais quitter, Pachyan partage ses réflexions.
  • De retour de Géorgie, Emmanuel Carrère ouvre le festival « Un Week-end à l'Est »

    Par | 1 recommandé
    De retour de Géorgie, Emmanuel Carrère ouvre le festival « Un Week-end à l'Est »
    Pourquoi attendre 65 ans pour visiter le pays de ses ancêtres ? L'écrivain Emmanuel Carrère s'est rendu pour la première fois en Géorgie. Compte-rendu de cette rencontre lors de la 7e édition du festival "Un Week-end à l'Est" jusqu'au 27 novembre à Paris.
  • L’amour après quarante ans sur grand écran

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    L’amour après quarante ans sur grand écran
    La 7e édition du festival "Un Week-end à l’Est" est lancée ! Ce 21 novembre était projeté en avant-première au cinéma Nouvel Odéon (Paris 6e) le film "Blackbird Blackbird Blackberry" d'Elene Naveriani. L'histoire d'un amour qui surgit et vient chambouler le quotidien d'une femme indépendante. De l'art de porter le sujet de la sexualité à plus de quarante ans à l'écran. La séance affichait complet.
  • Cette voix de la littérature allemande contemporaine est Géorgienne

    Cette voix de la littérature allemande contemporaine est Géorgienne
    Née à Tbilissi, la romancière de 40 ans, Nino Haratischwili, invitée d’honneur du festival "Un Week-end à l'Est", est déjà considérée comme une des voix les plus importantes de la littérature allemande contemporaine. Ses livres sont des fresques vertigineuses, dont les personnages se retrouvent pris dans les tourments de la grande histoire.
  • En Géorgie, une jeunesse en quête de liberté (et de tendresse)

    En Géorgie, une jeunesse en quête de liberté (et de tendresse)
    Deux femmes vivent en colocation à Tbilissi en pleine crise Covid. L’une est introvertie et ostracisée par sa famille conservatrice. L’autre est exubérante et obsédée par le rêve d’une nouvelle vie aux Etats-Unis. Rêves et réalités de la jeunesse géorgienne à travers le long-métrage "A Room of My Own" (Une chambre à soi) projeté le 25 novembre au Christine Cinéma Club dans le cadre du festival.
  • Explorer les ateliers d’artistes de Tbilissi, guidé par des femmes puissantes

    Explorer les ateliers d’artistes de Tbilissi, guidé par des femmes puissantes
    Le critique et commissaire d’exposition Alain Berland a arpenté les galeries et lieux de création de la capitale, pour choisir les artistes exposés à Paris dans le cadre du festival "Un Week-end à l'Est" du 22 au 27 novembre 2023. Il en revient impressionné par l’énergie artistique géorgienne, surtout celle des femmes.
  • Lela, ses protégés et le prof qu’il faut tuer

    Lela, ses protégés et le prof qu’il faut tuer
    Le « verger de poires », son premier roman, est l'une de ces livres qui frappent le lecteur d'un coup de poing dans le ventre. Il fait entendre les lamentations de l'enfance dans la Géorgie post-soviétique, sans jamais céder au désespoir. Nana Ekvtimishvili, 44 ans, est la marraine de l’édition 2023 de Un Week-end à l’Est qui débute le 22 novembre à Paris.