Le parlement belge a finalement ratifié un traité controversé. Les députés belges ont ratifié mercredi soir un traité belgo-iranien sur le transfert des condamnés, vivement critiqué par les opposants iraniens en exil en Europe, qui y voient la porte ouverte à la remise à Téhéran d'un Iranien condamné pour terrorisme en Belgique.
Récemment, par l'intermédiaire d'unités de résistance au sein des organes du régime, le Conseil national de la résistance de l'opposition iranienne a obtenu des documents comprenant des listes du nombre de prisonniers, d'interrogateurs, de tortionnaires et d'agents responsables d'exécutions, ainsi que le nombre de responsables politiques détenus et le nombre de condamnés à mort.
Les villes iraniennes sont instables. La théocratie iranienne est également dans un état de panique et fait face à une période tendue, avec des coupures ou des ralentissements d’Internet dans certaines provinces.
Le mercredi 20 avril après midi, la cour d'appel d'Anvers, en Belgique, a rendu son verdict sur l’appel des terroristes impliqués dans l’attentat de 2018 contre un grand rassemblement de la résistance iranienne en banlieue parisienne. Les quatre accusés ont été condamnés par le tribunal de district. Le principal condamné était un diplomate du régime des mollahs.
Le Dr Manouchehr Hezarkhani, un auteur prolifique et l'un des intellectuels les plus célèbres d’Iran qui, au cours de près de 70 ans, a écrit et traduit d'innombrables livres et articles sur la philosophie politique et la littérature, est décédé.
En terre d'Islam, l'observation du mois de jeûne qu'est le ramadan est une pratique qui revêt une importance particulière dans la vie des musulmans. Cette année il a commencé le 2 avril et se déroule dans une situation difficile pour les Iraniens qui endurent une misère économique éprouvante et le joug d’un régime brutale qui sévit au nom de l’islam.
Le samedi 5 mars 2022, avant la Journée internationale de la femme, une conférence internationale s'est tenue dans la capitale allemande, Berlin, en présence de dirigeants, de législateurs, d’influenceurs et de militants des droits des femmes de 37 pays du monde qui ont appelé à la solidarité.
Nous vivons à l'ère de l'information. Le point crucial dans les sociétés avancées d'aujourd'hui est la question de savoir comment réaliser une politique d'information saine dans ce contexte. Car le progrès passe aussi par le développement d’un système d'information et de sensibilisation approprié.