J'ai découvert la misère humaine de ces êtres qui servent et défendent cette classe sociale qui les utilise pour un salaire de misère, mais qui les méprise. Le pire, c'est qu'ils le font tous avec plaisir, parce qu'ils sont malades mentaux ou parce qu'ils croient défendre la « patrie ».
Bien qu'il existe des plaintes concrètes liant certaines entreprises bananières en Équateur au trafic de cocaïne, parmi lesquelles Noboa Trading, les enquêtes judiciaires n'ont pas avancé.
Il s’agit d’une des situations les plus absurdes, incohérentes, farfelues, aberrantes, insensées, et illogiques que les plus hauts représentants du régime étasunien ont commises depuis que j’ai mémoire...
À ce jour, aucun gouvernement, entité privée ou organisme international n’est parvenu à mettre en place un programme médical mondial capable d’apporter une réponse efficace et à grande échelle aux nécessiteux, comme l’a fait Cuba.
Je me souvins alors du double langage qu'entretiennent depuis toujours les gouvernements des États-Unis sur cette question : une relation intime, presque charnelle, avec le narcotrafic et ses profits faramineux...
En jouant le rôle du cynique, j'ai dit et répété : je pourrais être d'accord avec les invasions militaires des États-Unis et de leurs partenaires de l'OTAN, qui après avoir tué des millions de personnes se sont emparés des richesses incalculables de pays comme l'Afghanistan, l'Irak, la Libye, la Syrie, le Yémen, la Somalie...
Donald Trump n’a pas inventé les expulsions de migrants ni les enfermements dans des camps de concentration. Seulement, son ego exige qu’il gagne jusqu’à ce titre, même si la réalité montre que, jusqu’à présent, plusieurs anciens présidents le devancent.
L'histoire officielle colombienne nous apprend que Francisco de Paula Santander était « l'homme des lois ». Ce qu'elle omet, c'est qu'il aurait pu être considéré comme le premier grand exemple de trahison et d'intransigeance politique de l'élite colombienne...