Les Iraniens ont transformé cette année la fête du feu en l’expression de leur colère contre la dictature qui étouffe leur société depuis la prise du pouvoir par les islamistes en 1979. L’évènement était d’autant plus sensible qu’elle intervenait au lendemain de la révolte populaire qui a fait craindre pour la survie du régime par son ampleur.
Le 2 janvier 2018, dans un appel au président Emmanuel Macron, Hassan Rohani, président du régime iranien, demandait à la France de prendre des mesures pour restreindre les activités d'un groupe iranien basé en France qu’il a qualifié de « terroriste » et impliqué selon lui dans les manifestations qui ont ébranlé l’Iran au début de l’année.
Depuis la fin décembre, des manifestations se déroulent en Iran. Bien qu’il ne s’agisse pas de la première vague de manifestations dans le pays, cette fois, l’enjeu est différent. En effet, le régime est plus instable que jamais…
Voici le dernier « chef d’œuvre » du caricaturiste du quotidien Libération, 4 janvier, qui montre bien la mentalité nauséabonde de certains intellectuelles de gauche, une maladie infantile et un aveuglément malheureusement rependu et nocif pour les peuples en mouvement.
Le lundi 11 décembre, une manifestation a été organisée à Paris à l’occasion de la Journée internationale des droits de l’homme la veille, les manifestants ont souhaité exprimer leur colère vis-à-vis du régime sanglant des mollahs, la torture et les exécutions en Iran.
La Journée mondiale contre la peine de mort est une journée internationale organisée chaque 10 octobre depuis 2003, pour lutter contre la peine de mort. Elle a été instituée par la Coalition mondiale contre la peine de mort et bénéficie chaque année de soutien de millions de personnes ont pétitionné pour un moratoire international contre la peine de mort.
Le 18 septembre dernier, en marge de la dernière assemblée générale de l’ONU, les présidents Français et Etatsuniens se sont entretenus au sujet de l’Iran. Si l’influence Iranienne perturbe les Etats-Unis depuis de longues années, de grandes entreprises Françaises ont d’importants intérêts en Iran.
Les efforts pour établir les responsabilités du massacre de 1988 qui a fait quelque 30'000 victimes parmi les détenus en Iran s'accélèrent auprès de l'ONU. Dans ce cadre, un survivant est venu témoigner jeudi à Genève pour la première fois, aux côtés de l'ex-ministre française Rama Yade.
Appel urgent d'Amnesty international: Les autorités iraniennes doivent arrêter de toute urgence la destruction d'une fosse commune dans la ville méridionale d'Ahvaz.