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Parmi les querelles franco-françaises qui structurent notre pays, l’une des plus récurrentes tourne autour du rapport que la « province » entretient avec Paris ou, si on le dit autrement, à propos de l’opposition entre centralisation étatique et autonomie régionale. Le détour par la Révolution française, moment de cristallisation de nos passions, s’impose.
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Parmi les querelles franco-françaises qui structurent notre pays, l’une des plus récurrentes tourne autour du rapport que la « province » entretient avec Paris ou, si on le dit autrement, à propos de l’opposition entre centralisation étatique et autonomie régionale. Le détour par la Révolution française, moment de cristallisation de nos passions, s’impose.
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Parmi les querelles franco-françaises qui structurent notre pays, l’une des plus récurrentes tourne autour du rapport que la « province » entretient avec Paris ou, si on le dit autrement, à propos de l’opposition entre centralisation étatique et autonomie régionale. Le détour par la Révolution française, moment de cristallisation de nos passions, s’impose.
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Le populisme n’est pas une chose neuve. Il est important d’en comprendre l’établissement et le développement en le traquant dans les épisodes de notre histoire, et ici dans le cours même de la Révolution française. Il s'agit bien d'explorer les facettes de ce "roman national" dont nous sommes accablés pour mettre à jour ce qui s'est effectivement passé. D'autres textes suivront.
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Les Français participent davantage aux festivités qu'aux commémorations. Convoquer le passé pour sceller l'union du pays contre la violence n'en sera que plus difficile.
Reprise d'un billet paru le 17 juillet dans Le Monde (p. 12). Les heurts récents montrent que les sentiments et les ressentiments communautaires prévalent sur toute autre considération. Les passés invoqués sont clos sur eux-mêmes
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A propos de la Révolution, quand Marcel Gauchet et de Michèle Riot-Sarcey restent benoîtement dans leurs tranchées respectives et continuent des combats franco-français vieux d’une bonne vingtaine d’années, reprenant des argumentations usées jusqu’à la corde. Comment penser l’espérance d’une révolution si l’on nie en bloc les errements inévitables ou si on on rejette en bloc idées et difficultés?
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Alors que nous sommes à la recherche de solutions urgentes pour répondre aux menaces qui assaillent notre nation, et que des voix s'élèvent pour invoquer l'unité nationale telle qu'elle devait être pendant la Révolution, il n'est pas inutile de regarder de près les expériences historiques pour prendre conscience de la complexité des situations de crises, pour évaluer les risques d'initiatives pris
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Nul besoin d’être robespierriste, ou jacobin, pour lui accorder une plaque de rue : simplement historien.
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Le titre, sans équivoque : « au bord du gouffre », donne le sens de cette chronique personnelle et collective, écrite au fil de l’année 2015, pendant laquelle l’auteur, historien de la Révolution bien connu, a fêté ses 83 ans. Il a tenu, pendant douze mois, un journal pour rendre compte des aléas de sa vie propre, pour dire l’importance des personnes qui lui sont chères, comme de ses amis proches
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Une interprétation aussi fausse que dangereuse, parce qu'elle nourrit la confusion des esprits, court à propos de l'expression "sang impur" dans la Marseillaise pour faire de ce sang impur celui des des "révolutionnaires", du "peuple" sacrifié pour la bonne cause. Les textes de l'époque démentent catégoriquement cette vision sacrificielle et a-historique. Il faut assumer son passé.