La vérité est parfois russe, parfois française, anglaise, etc. Mais elle est toujours fragile. C'est un petit torero avec une petite cape rouge face à la bêtise au front patibulaire de taureau.
Hier 2 octobre à 20 h se tenait à la salle Bouyssel une réunion d’information sur le projet de « réhabilitation », « requalification », « restructuration » du quartier Paul Brard, en présence du maire et d'un responsable des Résidences Yvelines Essonne. Comme les lecteurs de ce blog le savent, il s’agit en fait de démolition.
Mes billets parlant de mon député ont choqué quelqu'un ! Qui a préféré s'exprimer dans un message privé. Le trouvant non dénué d'intérêt, je livre ici la teneur du message, en respectant son anonymat et son orthographe. Je livre aussi la réponse que je lui ai faite.
Et avant la branlée de 2014 ? Eh bien, c’est triste à dire, mais c’était les bébés-Rocard. Il y a eu d’abord Huchon, puis Esnol. On retrouve avec eux grande pauvreté et richesse frelatée.
Jeudi 20 septembre, s'est tenue au comité de quartier de Fin d'Oise à Conflans Sainte Honorine, la première réunion citoyenne de Confluence-écologie-solidarité. Je l'ai déjà évoquée dans un précédent article, Le virus de la politique. Voici à présent le compte-rendu rédigé par Gaël Callonnec.
Je développe ici ce que j'exposais dans de précédents articles : une première méthode pour redorer le blason du quartier est de le casser, de transplanter ses habitants, et d'en amener d'autres. Méthode odieuse et inefficace. Une alternative consiste à avoir le cran d'aller au dialogue, même s'il paraît impossible au départ.