La vérité est parfois russe, parfois française, anglaise, etc. Mais elle est toujours fragile. C'est un petit torero avec une petite cape rouge face à la bêtise au front patibulaire de taureau.
Première victime programmée, l'arche de Paul Brard, que je vous ai déjà présentée dans le billet Arche en ciel. Comment la défendre, en même temps que ma propre librairie-école ? Questions et réponses.
Encore ! Quel mot magnifique ! Qui rime avec corps, or, mort, amor, dors, dévore, flore... Célèbre par l’exemple classique de licence poétique : « encor », que le correcteur me souligne en pointillés rouges, normal. Adverbial, c’est-à-dire limite lexical. Quasi grammatical. Et pourtant !
Fractales : sur un plan "microscopique", des taches blanches dans l'herbe, toute une vie, toute une poésie. Sur un plan "macroscopique", d'autres taches blanches dans l'herbe. Un univers à plusieurs dimensions. Une théorie des cordes et des chaînes. Et un continuum spatiotemporel entre les seizième et vingt-et-unième siècles.
La giga-pauvreté du méga-riche. Trump le hacker vient de craquer la démocratie américaine. Merci Donald ! On sait à présent que ses principes sont faux.
Mister Trump ! Ce titre ne signifie pas "gay savoir", mais "homme sage", "homme sachant", "homme savant", "homme scient". Appellations appropriées au Mahatma Gandhi, qui fait mon admiration et l'objet de ce billet. Nouvelle variation sur le thème "La richesse du pauvre". Donald, ton tour viendra demain, pour une autre, sur le thème inverse.
Y a pas que la poésie dans la vie. Pas que l'oxymore, pas que la métaphore. Après avoir évoqué la pauvreté du riche, et la richesse du pauvre, ce qui n'est d'ailleurs pas terminé (bientôt, articles sur Donald Trompe et sur Gandhi), voici une petite pause réaliste.