Le Mercredi de la démocratie du 18 janvier est consacré à l'immigration avec un film de Fatima Sissani, «La langue de Zahra». Relégués, dans l'immigration, au rang d'ouvriers et de femmes au foyer, on imagine mal les orateurs que deviennent les immigrés kabyles lorsqu'ils retournent dans leur langue. C'est cette dimension que la réalisatrice a voulu montrer en filmant sa mère. Projection à 20h, suivie d'un débat avec la réalisatrice.
Accueilli par un millier de manifestants, pour la plupart cheminots de Sud rail et de la CGT, le premier train privé de voyageurs est entré en gare à Paris, ce lundi 12 décembre.
En à peine deux mois et demi, le mouvement des Indignés étasuniens a créé une foison d'affiches et d'images politiques, aussi belles que percutantes. Sélection...
Comment refaire de la question des médias, après des décennies d'abandon, la question démocratique et politique qu'elle n'aurait jamais du cesser d'être ? Conférence débat avec Henri Maler, d'Acrimed, mercredi 23 novembre.
« C'est un film joyeux, enthousiasmant, qui injecte de l'énergie au cœur du spectateur », s'exclame le militant antifranquiste, Lucio Urtobia, 80 ans. Squat-la ville est à nous retrace l'épopée des squatteurs barcelonais, de 2003 à 2011, et se clôt avec l'occupation de la place de la Catalogne par los indignados...
10 000 personnes de tous âges ont manifesté dans les rues d'Oakland, mercredi 2 novembre, répondant à l'appel à la grève générale lancé par les Indignés de la ville.
Le mouvement des Indignés américains se radicalise. Ceux d'Oakland, en Californie, appellent à la grève générale sur l'ensemble de la ville, pour le mercredi 2 novembre. Ailleurs, des vétérans de la guerre en Irak, en armes, ont rejoint les manifestants pour les protéger de la police.
Un journaliste croise le chemin d'une patrouille de police en train de contrôler « virilement » une vingtaine de jeunes Indignés espagnols, dans le métro parisien. « Mon réflexe de journaliste et de citoyen est de documenter cette scène, en la filmant avec mon téléphone portable. » Mal lui en a pris...
Les békés ne se contentent pas de piller la Guadeloupe, dignes de leur passé d'esclavagistes, certains expriment ouvertement leur racisme. Telle Sylvie Hayot, samedi dernier, qui accueillit les pompiers venus la secourir par un : « Pa mannyé mwen, sal nèg », (ne me touchez pas sale nègres). Insulte suivie par des crachats, des gifles….