Le blog de L'Épistoléro

En France, la grande marée finit toujours en chansons

Aujourd’hui, la tique n’est toujours pas morte.

L’auteur, Leylâ Erbil, a été, par le passé, pressentie pour le Prix Nobel de Littérature. C’est que les Raisins de la Colère peuvent aussi venir de Smyrne ou d’Istanbul.

Si, jadis, les loups entrèrent dans Paris, c’est au tour du chacal doré de faire son entrée dans l’hexagone. Il a été photographié plusieurs fois.

Dans un article de journal, il découvre l’existence de la périphrase : « L’auteur le plus volé aux USA. »

Son siège social est à Pezenas.

C’est le temps faire l’éloge de la coquille. Pas de la coquille vide mais de la coquille pleine. Celle qu’on appelle la coquille typographique. Elle est pleine de sens, de fantaisie, de poésie. Ravissante, elle ravit un autre sens de la lecture.

Puisque je l'évoque sur Mediapart, permettez-moi de le dédier à notre collègue blogueur JJMU.

Le Président exhorte son gouvernement à ne jamais céder aux Cassandre(s). Près de lui, dans le regard d'un ministre, agrégé de Lettres Classiques, c’est le Cheval de Trop en marche.

Au hasard d’une coquille dans la presse, voilà que le peuple tapi dans l’ombre se retrouve « tapis dans l’ombre ». C’est un drôle de tissu social qui se trame. Il recouvre. Il étouffe. C’est la faim de parti qui impose le silence du nombre. Le citoyen le cède au militant. Le militant relance, le citoyen se couche, tapi dans le nombre.