"Ce qui vient au monde pour ne rien troubler ne mérite ni égards, ni patience". René Char. « Cet éditorialiste « de la street », contrairement aux commentateurs rémunérés du petit écran, injecte de l’humour,1…
de l’autodérision, du doute partout où il le peut. Travailleur de l’ironie, Mačko manie la taquinerie avec brio pour mieux chatouiller les politiques et démasquer leurs aberrations. » Livia Garrigue, « Contester l'ordre policier - Mačko Dràgàn, un anar en Estrosie »
Par Mačko Dràgàn
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Pour un Noël 100% anti-consumériste et respectueux de vos cellules grises, offrez-vous à vous-même ou à ceux que vous aimez les documentaires réalisés par Télé Chez Moi et Pilule Rouge. La démarche est simple : il vous suffit d'une couette, d'un ordinateur, d'un accès à internet et d'un chat (noir) sur les genoux.
Pressions, brimades, turn-over incessant, horaires épuisants... Voici une enquête que nous avons eu du mal à mener et à diffuser, car la peur des professionnels qui ont accepté de nous parler est étouffante. Peur de représailles de la part de directions dont la management par la peur est régulièrement épinglé. Ces paroles brisées disent beaucoup des souffrances du monde hospitalier.
A Seillans, dans le Var, Loïs, exploitant agricole, a décidé de se présenter aux Municipales de 2020, avec un programme où la culture, le partage et l'horizontalité du pouvoir priment avant tout. Ce militant associatif et paysan, se confie autour de ce projet passionnant et prometteur au micro de Radio Chez Moi.
Les anarchistes. Qui sont-ils, à quoi rêvent-elles ? Un doc militant pour le découvrir. De la Roya au Rojava en passant par la ZAD et les Gilets Jaunes, punks, féministes et/ou disciples de Murray Bookchin, vous y entendrez la parole de ces militant.e.s qui inventent chaque jour la société écolo et libertaire de demain. L'avenir sera libertaire -ou il sera compliqué...
Par Mačko Dràgàn
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Les anarchistes. Qui sont-ils, à quoi rêvent-elles ? Un doc militant pour le découvrir. Un partir d'aujourd'hui, en cette semaine de grève générale, découvrez chaque jour dans ce billet un épisode de notre film documentaire d'1h11. De la Roya au Rojava en passant par la ZAD et les GJ, vous y entendrez la parole de ces militant.e.s qui inventent chaque jour la société écolo et libertaire de demain.
Par Mačko Dràgàn
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Cette société parle beaucoup de cul, jamais d’érotisme –ou de tendresse. De pénétration, jamais de caresses. D’un sexe où l’on « possède » un corps –pas où des chairs se frottent. Pénis partout, justice nulle part. Et si c’était ça, une des pires horreurs du consumérisme, cette société de chairs brimées ? Et si le sexe féministe -égalitaire et consentant- pouvait nous libérer ?
Par Mačko Dràgàn
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L'art populaire de qualité existe, dans tous les domaines. Doit continuer à exister. Mais alors, pourquoi donc Marc Levy - et le reste ? Parce que nous n’avons pas le temps. Parce que nous sommes pressés. Parce que l’industrie culturelle ne veut pas que nous soyons au courant qu’il y autre chose. Parce que laisser se développer une culture populaire libre et exigeante fait peur aux dominants.
Par Mačko Dràgàn
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Ne travaillez pas, vous serez traqués. Travaillez, vous serez floués. A l'heure de la «réforme» du chômage, tandis que la CAF me colle un procès parce qu'elle me réclame un papier qui n'existe pas, et que mon boulot salarié me rapporte à peine la moitié du smic, j’ai envie de dire un peu ce que je pense aux apologistes macroniens du travail-à-tout-prix et de la lutte-contre-l’assistanat.
Dans notre ville, le principal organe quotidien local, Nice-Matin, déjà auparavant connu pour son militantisme pro-mairie, a récemment failli être racheté par le patron de Valeurs Actuelles... De notre côté, pour faire entendre d’autres voix, et comme la presse libre locale est un bien précieux, nous avons décidé de lancer notre propre journal : Mouais – le journal dubitatif.
La rue nous appartient. NOUS SOMMES LA RUE. Ce dimanche 27 octobre, nous sommes donc venus, artistes de rue et habitant.e.s, pour dire : nous sommes là. Pour rappeler que les restrictions des libertés constituent une atteinte aux droits humains. Que l’espace public doit rester un espace de création et d'art, partagé par tous. Et que la beauté, comme la rue, est un bien collectif.