D'une conférence à l'École Polytechnique.
Pour lui, il y a les dieux (polytechniciens) et les inutiles (gilets jaunes) : "L'urgence, c'est d'éviter la multiplication des gilets jaunes"
11 novembre 2018. Cent ans après, ce devait être un hommage aux millions de morts, de mutilés, de blessés, de traumatisés par cette guerre infâme. Ce devrait être l’occasion d’une réflexion collective sur la guerre, ses origines, ses conséquences…
Au Brésil, c’est le chaos fasciste qui se met en place. Par le vote. Par la démocratie pervertie, après un coup d’état institutionnel contre Dilma Rousseff en 2016, c’est donc la première fois de l’Histoire qu’un candidat fasciste, d’une incroyable violence dans ses mots, ses promesses comme par ses soutiens, va arriver au pouvoir par un vote largement majoritaire ce dimanche 28 octobre.
La démission d'un deuxième Ministre d'Etat en quelques semaines, cela fait plus que désordre. Surtout après tout ce que nous savons. Et que nous ne savons pas, mais que «l'homme le mieux informé de France» (comme l'on dit toujours des Ministres de l'Intérieur) doit savoir, à commencer par l'hostilité de plus en plus grande de la société face à ce Président et ce pouvoir des riches.
Si vous cherchez dans les programmes des médias, même avec une loupe, vous ne trouverez rien, aucune émission consacrée à la Conférence de Munich. Et si peu dans la presse, malgré un passionnant article dans l'Humanité Dimanche. C’était il y a 80 ans. Un anniversaire passé sous le tapis. Sauf dans le cadre de la rétrospective Marcel Ophuls donnée en ce moment au Mémorial de la Shoah…
Été 2018, deuxième été le plus chaud en France. C’est ce que l’on apprenait ce mardi 28 juillet. Plus qu’un symbole. Auquel s’en ajoute un autre : Édouard Philippe était l’invité d’honneur de l’université d’été du Medef, le jour de la démission de son Ministre de la transition écologique.
Cette nuit, à l'Assemblée Nationale, le président du groupe des députés du parti présidentiel, l'ex PS Richard Ferrand, a employé un terme plus révélateur qu’étrange. Ce fut sa façon de siffler la fin des débats autour de l'interdiction du glyphosate, âprement discutée, suite aux promesses du candidat Emmanuel Macron faites il y a un an.