-
Nouvelle démonstration de l’absurdité d’une dépense de 26 milliards d’Euros pour le projet de deuxieme ligne ferroviaire Lyon-Turin, à coté d'une ligne rénovée pour 1 milliards et utilisée 6 fois moins qu'avant rénovation
-
La consommation d'énergie et le transport de fret sont à la baisse dans l'UE depuis 2006. Le trafic fret en 2017 dans les Alpes du nord a été 2,5 fois inférieur aux prévisions faites en 2006 justifiant le Lyon-Turin. Ce projet est celui d'un autre temps, celui d'un modèle de croissance qui n'est plus qu'une illusion et n’est pas souhaitable. Les élus doivent revoir leur processus de décision.
-
26 milliards d'argent public dont environ 60% en France remontant la dette SNCF que les élus condamneraient en l'ayant causée.
Un désastre financier au détriment des vraies priorités: La ligne existante peut transporter plus de la moitié du fret poids lourd ; il passe 2500 voitures / jour au Fréjus; plus de 100 000 à Chambéry, à Annecy SUD, reliés par voie unique avec un service TER insuffisant.
-
La DG Move (commission UE) évalue la ligne existante Lyon-Turin concluant chaque fois que le rail est bien plus compétitif que la route qui doit payer un péage d’environ 550€ aller retour par poids lourd pour le tunnel seul !!
La réduction de la pollution par report des PL pourrait se faire dès aujourd'hui, sans générer plus de 10M de tonnes de CO2 à la construction du seul tunnel transfrontalier
-
Lyon-Turin, projet pour répondre à une croissance inexistante depuis 98, pour un modèle économique à l'opposé des enjeux environnementaux ; 6 fois moins de trains sur la ligne existante qu’avant modernisation pour 1 milliard; Les prévisions faites pour justifier le projet sont totalement infirmées
La capacité inutilisée permettrait de reporter plus de la moitié du trafic de PL; qu'attendons nous?
-
Le salon accueillera cette année encore de nombreux acteurs du monde de l’alerte dans leur diversité, lanceuses et lanceurs d’alertes, auteurs, journalistes, chercheurs… tous engagés pour l’intérêt général.
Ce salon indépendant est l’unique lieu où se rencontrent largement celles et ceux qui enquêtent, s’informent et réfléchissent sur les alertes et les enseignements qu’elles recèlent.
-
La haute administration d'état est UNANIME contre le projet Lyon-Turin: du Conseil Général des Ponts et Chaussées (devenu CGEDD) avec le rapport de l'Ingénieur Général Brossier dès 98, Cour des Comptes, Inspection des Finances, Direction du Trésor, au Conseil d'Orientation des Infrastructures en 2018, dont les scénarios servent de référence à la Loi d'Orientation des Mobilités
-
La société TELT a publié un sondage sur le projet TGV Lyon-Turin
Site BVA : «nous sommes des experts du comportement» dans des secteurs dont Conseil - Communication Publique et Politique où BVA précise «La communication publique et politique consiste à construire le récit de l’ambition ou du projet d’un candidat/d’un élu .... »
Alors: mesure d'opinion ou construction d'un récit?
-
Le Lyon-Turin c’est l’EPR du ferroviaire, 10 fois plus cher qu’annoncé, 20 ans de décisions politiques contraires aux recommandations de la haute administration, un retard de plusieurs dizaines d’années alors que la mise en service de la totalité de la ligne était prévue en 2012, un financement inconnu à ce jour, des prévisions de progression des trafic de marchandises toutes fausses
-
De nombreuses voix se sont élevées contre la fermeture de la ligne Perpignan Rungis qui jetterait sur les routes 25 000 poids lourds par an. Cette situation a en effet de quoi interroger sur la volonté des dirigeants de reporter les marchandises vers le rail puisqu’après deux ans de réunion, d’assises des mobilités et de débats sur la LOM, le résultat est à l’inverse de toutes les déclarations.