Journaliste scientifique, j'ai travaillé à Science et Vie, à L'Evénement du Jeudi, et au Nouvel Observateur (de 1990 à 2009). Je suis aussi auteur de plusieurs livres dont le dernier, Kaluchua, vient de paraître au Seuil. Sur twitter: @MicheldePrac.
Un fémur d’homme moderne vieux de 45 000 ans, retrouvé en Sibérie, donne de nouvelles informations sur l’époque où notre espèce a croisé les Néandertaliens, d’après le paléogénéticien Svante Pääbo, de l’Institut Max Planck de Leipzig, en Allemagne. L’équipe de Pääbo vient d’établir une séquence très précise du génome de l’ancien Sibérien.
Selon une étude américaine, le nez humain serait capable de distinguer au moins mille milliards d’odeurs différentes ! Ce nombre impressionnant ridiculise l’estimation classique, selon laquelle notre système olfactif discriminerait à peine dix mille odeurs.
Le mormon commun (Papilio polytes), un papillon très répandu en Asie, possède une paire d’ailes noires ornées d’une discrète bande jaune pâle sur la partie inférieure. Mais certaines femelles ont des ailes plus voyantes, arborant un motif blanc sophistiqué et des taches rouges du plus bel effet.
Dans quelle mesure peut-on anticiper une catastrophe telle que le super typhon Haiyan, qui a frappé les Philippines le 7 novembre dernier et a fait, selon le dernier bilan officiel, plus de 6 200 morts et près de 1 800 disparus ?
Lorsque les hommes modernes sont sortis d’Afrique, il y a environ 100.000 ans, pour se répandre dans toute l’Eurasie, ils ont rencontré leurs devanciers, les Néandertaliens. Des unions mixtes se sont produites et ont engendré des descendants hybrides. La trace de ces métissages apparaît encore dans le génome des Européens et des Asiatiques contemporains. Mais de quels gènes néandertaliens ont hérité les humains actuels ?
Ce samedi, le robot Opportunity de la Nasa fête gaillardement son dixième anniversaire sur Mars : le 25 janvier 2004, il posait ses quatre roues dans une plaine appelée MeridianiPlanum.