Le blog de millan

 « Tu peux ne pas être un poète. Mais tu dois être un citoyen » lancé par N. Nekrassov sous l'Etat policier tsariste. Au temps de Pouchkine, les nobles quittaient la France pour la Russie par conviction politique en opposition à la République sachant retrouver leurs homologues de castes. Aujourd’hui, les saltimbanques, les sportifs et autres industriels enrichis la quittent par amour de l’argent.

Nous avons enfin un patron de presse orfèvre en matière d’information. Monsieur Tapie est un patron dont le passé justifie pleinement son arrivée à la tête du Groupe Hersant Média, un homme dont le nom a orné toutes les rubriques qui font l’ordinaire d’un quotidien : Politique, économie, justice, faits divers, sports, arts et spectacles. C’est donc un expert et cela nous change des industriels et autres banquiers qui se servent des journaux que pour mieux vendre leurs salades.

(Ce titre fait référence à un texte publié en avril 2010http://blogs.mediapart.fr/blog/roger-vaillant/060710/y-t-il-un-journaliste-dans-la-sallesous le pseudo Roger Vaillant)Aujourd’hui, à la réflexion et après lecture de la presse sur plusieurs jours, l’affaire Cahuzac, par une manœuvre de diversion, menace de se transformer en une l’affaire Mediapart. Les officines spécialisées ont lancé la contre-attaque, les flèches de Parthes obscurcissent le ciel par leur nombre tirées par des supplétifs, faux journalistes qui cherchent pitance et reconnaissance.Trouver un bouc émissaire,

Oui, j’en ai marre du peu de d’enthousiasme de quelques camarades qui ne participent que de très loin à la diffusion de nos journaux ou tracts et à la vie de notre parti.J’en ai marre de lire ce genre de communiqué du candidat du Front de Gauche battu à Béziers ce dimanche, Barbazange qui ne sait pas encore depuis le temps que les militants du PC sont aussi les militants du Front de Gauche. *J’en ai marre de constater que le pouvoir offre à toutes les entreprises, petites ou grandes, bénéficiaires distribuant des dividendes ou non, un crédit d’impôts d’un total de 20 milliards d’euros et n’en trouve pas un pour nationaliser et sauver Florange.