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Le blog de Nathalie Achard

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Le rire serait le propre de l’homme. Parfois, il est aussi le sale.
Petit match de tennis avec balles, pas très neuves, de la marque « on ne peut plus rien dire » -
Tu lui offres quoi pour le 8 mars, toi ? Des fleurs ?
Aujourd’hui, c’est la Journée internationale des droits des femmes. LA journée. UNE journée consacrée aux droits de la moitié de la population mondiale. Court billet pour quelques rappels salutaires. -
« Salauds de pauvres ! »
La polémique du week-end : la petite phrase attribuée à Macron au sujet du goût des smicards pour les abonnements VOD. À force de mépris gonflé au sentiment d’impunité, et même si la violence institutionnelle déployée pour endiguer la colère profonde qui fait gronder les entrailles du pays augmente et repousse par la peur les contestations, il arrivera toujours un moment où un peuple sentira qu’il n’a plus rien ni à espérer, ni à perdre. -
« Les Français se disent : “L’Ukrainien, il me ressemble” »
Du mort-kilomètre à la loi de la proximité, la grande gagnante de cette guerre en Ukraine sera incontestablement une hypocrisie parfaitement décomplexée et maquillée comme un camion volé de bienveillance sélective. -
« L’écologie sans lutte des classes, c’est du jardinage »
De plus en plus utilisée, cette phrase de Chico Mendes est un mantra sur lequel il est intéressant de réfléchir. En nuances. -
Qu’est-ce qu’être un·e allié·e?
Ce terme « allié·e », utilisé dans les mouvements de lutte pour la justice sociale, commence à émerger dans les débats et les prises de parole hors milieu militant. Décryptage. -
Le pharmakos ou la stratégie du salaud utile
Depuis quelques jours, « l’affaire » Pierre Ménès fait grand bruit. Doit-on s’en féliciter ? Doit-on y voir le signe tant attendu d’un changement d’époque ? Je ne crois pas. -
CE QUE JE PENSE DE L’AUTRE, C’EST CE QUE JE SAIS DE MOI
Mais qu’est-ce qui fait si peur dans les mouvements de lutte contre les discriminations ? Certainement que celles et ceux qui y participent fassent la même chose et discriminent à leur tour. -
LE CONSENTEMENT, OTAGE BÂILLONNÉ DES SYSTÈMES D’OPPRESSION
Le consentement est souvent traité à la légère et instrumentalisé pour obtenir exactement le contraire de ce qu’il signifie, comme si un silence ou un « oui » étaient suffisants. Comme si un « non » n’avait pas le sens de sa stricte définition. Mais comment est-ce possible ?
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