Humain patenté mais non breveté.
Mon Petit Liré - Quelque part à l'ouest du Rhin et du Rhône et pas très loin du Loir Gaulois et de la Loire de la même eau. (et aussi: olivier.hammam@free.fr)
Et, Ma Pomme c'est Mouhahahaha, j'suis plus heureux qu'un Rouha!
Ma Pomme, en l'occurrence, c'est Olivier Hammam, un type né le 11 mai 1959 dans un bled d'Eure-et-Loir. Je dis parfois que c'est mon petit…
Liré pour faire le beau et le cultivé, et parce que je suis né pas très loin du Loir gaulois. Ma Pomme est un rigolo dérisoire mais amusant, du moins l'espère-t-il – pour le côté amusant, quant au côté dérisoire, je le déplore mais en prends mon parti...
J'ai découvert récemment un auteur fort intéressant, Domenico Losurdo. D'un sens il ne m'apprend pas grand chose mais il a cet intérêt de faire une critique serrée et argumentée de la période dont je discute le plus, celle allant en gros de 1500 à aujourd'hui, avec une focalisation sur les trois derniers siècles et une attention particulière sur la période récente, après 1910.
Nous sommes tellement habitués à un rapport marchand dans le commerce que nous n'arrivons que rarement à comprendre que les deux ne sont en rien “naturellement liés”, que ce lien est on ne peut plus artificiel, que le commerce, l'échange, n'est qu'accidentellement marchand.
Une bonne manière d'avoir toujours raison, à laquelle n'a pas pensé Schopenhauer, il me semble, est de dire à son contradicteur de manière, disons, positive, «je ne suis pas comme vous». Ce qui implique, «vous n'êtes pas comme moi». Et puisque nous ne sommes pas “l'un comme l'autre”, ce que dit le contradicteur est “incompréhensible” pour celui qui émet cette proposition.
Ou de ne pas les financer. La réponse est simple: des bureaucrates et des technocrates. Ce qui est malheureux car ce ne sont pas eux qui paient, ni pour les dépenses prises en charge, ni pour celles qui ne le sont pas. Et si le choix était laissé aux payeurs?
J'aime bien cette idée de «droit de mourir dans la dignité». Je ne la partage pas mais je l'aime bien, elle est naïve, et ses promoteurs semblent pleins de bonne volonté et de compassion. Certes un brin aristocrates ou oligarques dans leurs présupposés, mais sympathiques, “gentils”.
Ma Pomme est bonne poire et veut bien penser pour celles et ceux qui ne souhaitent pas le faire. Très mauvaises idées cela dit, de penser pour les autres et de penser par les autres. Je blague! Je ne pense que pour moi et ne pense que par les autres.