Économiste, sociologue et HEC à la retraite (maître de conférence à l’Université Dauphine et membre du Cabinet Syndex, expert-comptable spécialisé dans le conseil aux Comités d'entreprise et aux syndicats de salariés), il s’occupe, depuis une dizaine d’années, de promouvoir l’Indépendance de la Kanaky Nouvelle-Calédonie. Il s’est mis en outre à écrire autre chose que de savants traités...
Habemus papam mais pas le compromis de Godot-Valls. D’après les loyalistes radicaux qui ont tout saboté, comme prévu et depuis longtemps, sa proposition était de promouvoir une sorte d’indépendance ! À voir cependant de quel type exact de souveraineté partagée il s’agit... Mais, sauf erreur, les indépendantistes restent muets
Qui ne s’en doutait pas ! Mais ça ne veut pas dire que c’est fini : encore quelques coups de clairon et hop ! Mais un autre « miracle » s’est produit hier : on connaît enfin le PIB calédonien de 2023... Et c’est un cru d’exception ; on en sait un peu plus sur ce que sera celui de 2024, une grande piquette, évidemment. On continuera donc demain l’analyse de la quête de Valls
... les murailles ne tombèrent pas ce mardi 6 mai au soir, septième jour d'assaut par le ministre des Outre-mer des murs de la discorde : il faut donc encore, de sa part, des coups de trompette, de clarinette ou de pipeau !
Le début du « conclave » (dont l’étymologie latine est « cum clave », avec clé, sous clé) celui de Calédonie pas l’autre de la chapelle Sixtine, se tiendra en effet à l’hôtel de luxe Sheraton de Bourail. On attend la « fumée blanche », mais sans doute pas pour aujourd’hui, qui donnerait, on peut rêver, « L’Accord de Bourail »...
Le début du « conclave » (dont l’étymologie latine est « cum clave », avec clé, sous clé) celui de Calédonie pas l’autre de la chapelle Sixtine, se tiendra en effet à l’hôtel de luxe Sheraton de Bourail. On attend la « fumée blanche », mais sans doute pas pour aujourd’hui, qui donnerait, on peut rêver, « L’Accord de Bourail »
Il a passé son dimanche d’abord sur l’île de Maré (Nengone, dans la langue kanak du coin) en changeant de chapeau : hommage à Yéwéné Yéwéné suivi de la Fête de l’avocat (le fruit). Puis, à Nouméa, hommage à J-M Tjibaou. Enfin, le soir au JT, réaction de Virginie Ruffenach, des « Républicains » : tout sauf l’indépendance, même avec partenariat avec la France. Fin mal barré le compromis...
« Le ministre des Outre-mer s’est accoutumé sans difficultés à la mode broussarde à la Fête de la crevette et du cerf 2025 » (la fameuse Foire de Boulouparis) ; ce serait dommage de rater cette photo qui ouvre cet article de NC la première. On vous offre ici un montage qui rappellera à Valls (à gauche) sa prise de bec avec Metzdorf (à droite) lors de sa visite de fin février...
On ne travaille donc pas à faire progresser la paix le premier jour de mai (que la plupart des journalistes nomment la « fête du travail », comme Pétain) ! Valls fait ainsi un peu de tourisme. Mais il ne m’est pas interdit, avec un ton certes acerbe (pourquoi laisser ce monopole aux loyalistes radicaux !) de revenir sur quelques questions de fond concernant l’avenir institutionnel de la Kanaky
Le ministre français des Outre-mer est « Sur un fil au-dessus des braises » écrivait le quotidien Les Échos. Mais pas encore de scoop pour cette veille du Premier Mai