Depuis quelques temps (et le mouvement #Metoo) une phrase revient souvent retrouvée parmi des commentaires d’un très beau billet et qui concernerait « le cinéma français » et sa cérémonie des Césars (et à l’entour)…
Précis précieux pour que le jour d’après ressemble au jour d’avant dans les salles de cinéma et leurs débats.
Ne me remerciez pas, le plaisir de vous écouter est pour moi...
Chaque rapport cinématographique pourrait se conclure par l’épitaphe : « Alors, de quoi se plaint-on ? ».
À entendre le chapelet de doléances qui fleurissent de part et d’autre lors de réunions professionnelles (créateurs, distributeurs et exploitants réunis), un seul écho en forme de réponse : « À peu près de tout ».
Migré sur le net, « le monde de la culture » est souvent gratuit désormais (cf. Médiapart : La culture comme bien commun)… Byzance ! Démocratie sur ses 2 pattes ! La République égalélitaire pour tous !
Nous avons bien reçu votre proposition de stage d’été avec « les jeunes du quartier »… Comment dire… Nous recevons beaucoup de propositions de ce genre de nombreux étudiants fraîchement diplômés et qui n’ont pas encore l’expérience de la réalité du monde…