Je vous ai attentivement écoutée hier soir dans l'émission de Médiapart et je voudrais vous parler de votre basculement de statut, de votre passage de la sphère des prolétaires du 93 à celle des dominants économiques et politiques.
Enfant, au patronage, j'ai vu "La beauté du Diable"de René Clair, un vieux grincheux, Michel Simon, un jeune premier plein d'enthousiasme, Gérard Philippe. C'est l'image de ce duo qui m'est revenue le 16 juillet pour un récital de clavecin après avoir vu Jean Etienne Beillard et Justin Taylor
Lorsqu'on est fragile, qu'on peut se faire bousculer, on ne se rend pas dans des lieux qui sont définis comme interdits et on ne se met pas dans une situation comme celle-ci.
Voici un billet de décembre 2016 publié sur son blog par le cinéaste Yannis Youlountas dont l'auteur a dit qu'il était « reproductible où vous voulez, pas besoin de demander ». Je publie par ailleurs un autre billet, personnel celui-là pour dire ce que je pense du film « Un berger et deux perchés à l'Elysée » de Pierre Carles et Philippe Espinasse sorti ce jour.