Si l'on en croit les dernières statistiques publiées par "l'Observatoire français pour les drogues et les tendances addictives", le phénomène toxicomane s'est lourdement aggravé dans notre pays...
Ce deuxième quinquennat, placé sous le régime du faux semblant et de la com..., a atteint hier à Marseille son apothéose dans l'enfumage citoyen d'une société en désarroi, avide de sécurité et de mieux-vivre ensemble...
Le boycottage de tous mes billets relatifs à la genèse de mon film "Dreyfus ou l'intolérable vérité" m'avait déterminé dans un premier temps à cesser mon activité de blogueur sous l'égide de Vingtras, mais l'incorrigible rebelle que je suis a fait sortir de ses gonds le nonagénaire toujours révolté avec ce 2519e coup de g...
Boycottant tous mes billets concernant le film "Dreyfus ou l'intolérable vérité", une prévention relative sans doute à l'effroyable tragédie de Gaza, a occulté la grande leçon mémorielle de l'affaire Dreyfus...
Rodrigo Arenas, député de Paris (Nupes) vient de prendre cette initiative afin de célébrer le cinquantenaire du film en question qui va bientôt sortir en DVD, dans une version restaurée, grâce aux éditions de Montparnasse
C'est avec cette apostrophe à forte connotation de Mai 68 que se terminait "Dreyfus ou l'intolérable vérité", un film qui fut d'abord interdit sous Pompidou puis finalement autorisé (sous conditions) après l'élection de Giscard d'Estaing...
N'étant pas pourvu de moyens pour une "reconstitution historique" valable, j'optais pour une stratégie narrative chorale basée sur l'alternance de deux intervenants, l'un (Guillemin) procureur impitoyable non dénué d'humour, et l'autre (Thomas) greffier impassible et placide...
Mis à pied de l'ORTF à l'automne 1968, bafoué et humilié, sans le sou, je descendais les Champs Elysées quand le hasard me mit en présence de Jacques Charrier ; il avait jadis été mon copain au collège d'Issoire (Puy de Dôme) où nos pères, militaires de carrière, étaient en garnison...
En juin 1968, un jeune avocat (Robert Badinter) m'avait dit en sortant du tribunal érigé par l'ORTF : "Mon vieux, vous êtes licencié sans indemnité, mais vous avez retrouvé la liberté d'expression ; vous allez donc pouvoir vous attaquer à l'un des sujets que vous envisagiez dans la collection "Présence du passé", ce tabou qui obère la Justice de ce pays, l'affaire Dreyfus"...