La circulation des agents sociaux entre deux ordres institutionnels, économique et politique, construit par des séquences libérales successives trouve un point de cristallisation. L'effectivité de la Violence et une Classe Dominante qui lui est conjointement associée. Dans cette dernière partie du travail, nous proposons un retour réflexif critique sur la notion complexe que constitue La Richesse.
Rapport de force économique. Lutte d'intérêt pour le monopole du pouvoir politique. La mondialisation d'un système néo-libéral accroit sa puissance d'expansion à mesure des destructions-destructurations qu'elle engendre. Haute Finance et système économique s'accouplent dans une forme politique parasite à toute profusion démocratique.
La violence économique n'est pas la prérogative d'individus isolés pourvus d'une puissance de manifestation de leur richesse. Non. La violence économique est intégrée dans une structure totale, acquise à l'addition et à la multiplication de tous types de capitaux. La violence manifestée est conséquence d'une totalité politico-économique rendue légale par l'orchestration d'un système néo-libéral.
La violence criminelle déchainée d'un Etat n'est pas l'organisation d'une politique appliquant La Terreur comme système et moyen de pouvoir. Pas plus que l'organisation d'une violence collective d'un groupe n'est assimilable à un déferlement de violences aveugles et spontanées. Dans cette dernière partie, nous proposons d'opérer une distinction entre pédagogie et intransigeance du pouvoir.
La métaphysique législative de l'architecture judiciaire française répond à des impératifs historiques de lutte contre la radicalité, violente ou non, depuis La République Montagnarde de 1793, tirant sa légitimité face aux contre-pouvoirs populationnels prenant corps contre un Etat de fait. Dans ce deuxième volet de notre travail, nous comparons en pointillé l'arsenal judiciaire (anti)terroriste.
Les Lois Terroristes légiférées sous L'Etat Révolutionnaire Robespierriste et les Lois Antiterroristes administrées sous la Cinquième République sont des Pièces Symétriques incluses dans Une même Histoire Nationale... Qu'est-ce donc La Violence ? Qu'est-ce donc La Terreur ? Dans cette première partie, nous nous attelons à la définition des termes en proposant des hypothèses de recherche.
L'analyse de la chercheuse Amélie Myriam Chelly propose une étude de la structure de la fratrie. Nous nous proposons ici de résumer les principaux axes de démonstrations tenus dans l'argumentation proposée. Il nous semble que cet article est un incontournable de la sociologie de la radicalisation. Nous pénétrons en profondeur et par paliers les étapes de l'enrôlement dans la violence.
Le débat sur les centres de déradicalisation est devenu un évènement majeur des discours contemporains. Que celui-ci traite des revenants ou des potentiels actifs présents sur le sol national, les prises de position de chacun alimentent des enjeux d'une sévère importance. Celui de la consolidation ou de la disparition du tissu social national. Quelle est l'efficacité des centres de radicalisation?