Comment faire de la politique à gauche aujourd'hui ? Comment construire les mobilisations sociales essentielles ? Comment exister face aux hégémonismes ?
Ce texte n’a pas vocation à discuter de l’ensemble des aspects du réchauffement climatique. Il s’agit plutôt d’une petite contribution qui vise à pousser à la discussion sur les transports gratuits.
L’objet de ce texte n’est pas de causer une énième polémique. Il est, au contraire, le souhait que s’engage, enfin, une discussion politique digne de ce nom.
Après avoir mené avec enthousiasme la très belle campagne de Philippe Poutou, je m'inquiète face à l'anti-politique qui résulte de nombreuses analyses à la suite du premier tour.
À peine trois semaines. C'est ce qu'il nous reste pour parvenir à obtenir les 500 signatures nécessaires afin d'être présent lors de l'élection présidentielle.
Philippe Poutou et le NPA viennent de lancer une campagne populaire pour rendre visible leur candidature dans les médias. Complètement oublié par ces derniers, Philippe Poutou a des difficultés, aujourd'hui, à défendre le programme et les idées du NPA devant la majorité de la population, alors que l'anticapitalisme a été vivant au grand jour tout au long des mois de luttes contre la loi travail.
Mediapart a lancé le mot d’ordre #RienNeSePasseraCommePrévu. Je dois dire que je suis globalement d’accord – au moins par l’envie – pour que 2017 soit bousculée, et que d’autres possibles émergent. C’est un peu le B.A.BA d’une attitude révolutionnaire, chercher à créer l’instant propice et à détruire les temps trop calmes, trop plats.
L'élection présidentielle est souvent un moment de coups bas et de malhonnêteté intellectuelle. Mais c'est surtout le moment où les débats politiques, les polémiques de fond, sont mises aux oubliettes. L'élection de 2017 ne fera pas exception.
Depuis le mois de mai, mais surtout depuis le mois de septembre, des dizaines de militant-es du NPA sont sur les routes. J’en suis. J’en fais donc profiter.