UNE VOIX DISSONANTE.
Parce que la société a besoin de contradictions, pas de consensus tièdes.
J’écris sur la justice, les institutions, la morale et la perte du sens.
Des chroniques humanistes, parfois1…
amères, souvent calmes, toujours sincères.
Je ne cherche pas à convaincre, seulement à rappeler qu’il existe, derrière chaque dossier, chaque règle, chaque écran, un être humain qui respire encore.
Et qu’une dissonance, parfois, vaut mieux qu’un silence bien accordé.
Dans l’Éducation, la Santé, les Finances ou la Sécurité, les agents publics font face à une fatigue chronique et une perte de sens croissantes. Leur épuisement, peu visible mais bien réel, interroge la soutenabilité de notre modèle d’État.
Coïncidence troublante ou pressentiment littéraire ? Une chose est sûre : la fiction d’anticipation imaginée par l’auteur résonne avec une actualité brûlante... et légèrement secouée.
Dans l’univers qui nous entoure, tout semble suivre des lois établies et prévisibles – mais parfois, une simple variation imperceptible peut provoquer des conséquences gigantesques.
Sous le masque de la défense des valeurs républicaines, une autre idéologie avance à pas feutrés, déguisée en championne de l’universalisme et de la laïcité.