Nous allons parler de Twitter. Nous détestons tous ce réseau pourtant il mène rondement le jeu depuis plusieurs années déjà. Et comme toutes choses qu'on déteste, aussi bizarre que cela puisse paraître, on se laisse attirer par son côté sombre. Une immersion drôlatique dans les noirceur de l'âme (mais pas que).
Barbie : ce qui a attisé ma curiosité et m'a incité à y aller, ce sont les nombreux commentaires selon lesquels ce film est « féministe ». Mais le fond du film tourne finalement autour de Ken et non pas de Barbie. C'est lui qui impose le débat et qui contraint l'action. Attention, je « spoile » l'intégralité du film pour le décrypter.
Suite à mon précédent papier sur Mediapart, je voulais exposer un autre problème extrêmement inquiétant que je vais présenter sous l'angle roumain mais très certainement valable pour d'autres pays de l'Union.
Emmanuel Macron a été présenté comme le candidat de l'Europe, celui qui est amené à renforcer les relations européennes. Il a été salué et applaudi en Roumanie. La Roumanie est un des pays les plus favorables à l'Europe.
Cela va faire un an. Un an depuis le 13 novembre 2015. Je me rappellerai toute ma vie de cette journée. Comme un exutoire je vais raconter ici moment par moment cette journée où j'ai vu le plus beau comme le pire de l'être humain. Il faut des fois du temps pour arriver à conscientiser certaines choses, les exprimer, les écrire. Je vous les livre ici.
Trop c'est trop. J'observe, je regarde la société, j'essaie de rester pondérée et puis il y a des moments où le vase déborde. Les mots du Pape sont la goutte d'eau d'une nausée qui m'envahit chaque jour un peu plus. Cela serait bien que cette nausée ne soit que le signe d'une gastro-entérite saisonnière. Malheureusement ce n'est pas le cas.
Après les Pokémons et le burkini, c'est la Rue des Allocs qui a fait couler de l'encre. Ces trois thématiques résument le débat (et son niveau) sur le dernier mois. Après m'être intéressée au burkini et après avoir zappé les Pokémons, je vais m'intéresser à la Rue des Allocs.
Suite à mon précédent billet concernant la question de Raphael Enthoven sur les partisans du burkini et après un échange de tweets succincts mais néanmoins cordiaux, Raphael Enthoven m'a renvoyé vers sa réponse qui fait écho à ce texte...
Votre tweet a suscité de nombreux débats, de nombreuses réponses. J'avoue ne pas les avoir toutes lues. Il est facile de répondre de manière épidermique, surtout à un tweet, surtout de nos jours. Toutefois vous avez eu la prudence si ce n'est l'élégance de mettre en début de tweet le mot "question"...