Suite aux interventions de la ministre de la santé et de l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), certains médias qualifient d’essais cliniques « sauvages » les décisions de certains patients de ne plus suivre leurs traitements jugés non efficaces et de plus non remboursés contre les maladies d’Alzheimer et de Parkinson.
Nous sommes habitués depuis bien longtemps aux paroles creuses des politiques concernant l’écologie, la pollution atmosphérique ou les pesticides et sans effets quant aux actes effectifs pour réellement avancer vers un environnement non pollué.
À la lecture d’un récent « décodage » du Monde concernant le possible lien temporel entre vaccination et mort subite du nourrisson (MSN), on est surpris immédiatement par l’utilisation d’un style péremptoire du titre assurant le lecteur innocent de la certitude absolue de la sentence émanant d’un "journaliste" n’ayant jamais prouvé ses hautes compétences dans des revues médicales de haut niveau…
Des milliards de mégots de cigarettes sont jetés sur notre planète sans émouvoir particulièrement ses habitants et ainsi depuis bien longtemps.
Une récente étude publiée dans la revue « Environmental Pollution » vient éclairer le devenir de l’absorption de nicotine à partir des mégots de cigarettes jetés.
Depuis quelques années, une nouvelle forme de censure a commencé par émerger avec la rétractation de publications acceptées par des revues scientifiques et donc après passage par un comité de lecture avec quelques exemples notoires qui montrent bien l’influence des lobbies notamment pharmaceutiques ou chimiques pour ne pas nuire à leur stratégie commerciale.
Quand des chercheurs observent des résultats hors du commun dans le paradigme actuel, notamment avec des hautes dilutions, ils envoient leurs manuscrits pour publication qui sont vérifiés par des referees les acceptant ou les rejetant avec des arguments précis, les bases mêmes de la recherche scientifique !
Jusqu’en 1978, la nicotine présente dans la fumée de tabac était considérée comme une molécule toxique à une certaine dose mais pas comme une molécule sensibilisante, un haptène capable d’induire des réactions allergiques au même titre que la pénicilline par exemple.
Le Point ne manque pas de se ridiculiser en publiant un papier obscurantiste avec un entretien qui s’appuie sur « toutes les agences sanitaires qui indiquent que le glyphosate ne présente pas de risque » ...
L’histoire de la médecine nous a déjà montré combien il était difficile d’évaluer la toxicité d’une molécule naturelle ou synthétique. Il faut parfois plusieurs décennies pour reconnaître les effets secondaires de molécules naturelles ou synthétiques, voire même un siècle pour l'amiante...Alors que dire du glyphosate....
L'Académie nationale de médecine avait réagi récemment en qualifiant les hautes dilutions homéopathiques de "placebo avec attente"...
On peut cependant rester dubitatif sur la sentence approximative de l'Académie nationale de médecine en observant une réelle efficacité sur des plantes sans "structures cérébrales profondes comme l'amygdale cérébrale"...