À un moment où l’Académie nationale de médecine tente encore une ultime manœuvre, on peut s’attarder sur une sentence sans fondements scientifiques car l’effet placebo n’a pas encore été élucidé...
Alors que certains voudraient mettre en doute la détection de glyphosate dans les urines testées récemment, on retrouve dans l’histoire des contaminations ayant eu des suites inquiétantes le cas exemplaire de la pénicilline qui se retrouvait dans le lait et les vaccins contre la poliomyélite.
Après un certain Raphaël Enthoven faisant doctement référence à Paracelse sur Europe 1 pour soutenir une hyper vaccination tous azimuts…,
le Figaro ne manque pas de s’égarer sur des sables mouvants en citant à nouveau Paracelse dans sa dernière production « scientifique » sur le glyphosate retrouvé dans les urines d’un grand nombre de citoyens.
En publiant sa dernière liste des médicaments plus dangereux qu’utiles, la revue indépendante Prescrire actualise chaque année tous les médicaments actuellement sur le marché pharmaceutique tout en proposant si cela est possible une alternative aux traitements actuels.
Trente années après la célèbre publication du chercheur Jacques Benveniste dans la revue Nature le 30 juin 1988, un groupe de chercheurs en pharmacologie et biotechnologie vient de publier dans cette même revue Nature Scientific Reports une étude confirmant l'efficacité de hautes dilutions.
Une récente publication du physicien chercheur belge Auguste Meessen de l’Université Catholique de Louvain confirme l’évidence du phénomène de la mémoire de l’eau décrit par Jacques Benveniste en 1988
L’INA (Institut National de l’Audiovisuel) vient de rendre hommage au grand chercheur Jacques Benveniste, découvreur du PAF-acether (Facteur activateur des plaquettes sanguines) en 1971 et initiateur de la biologie numérique à la suite de ses travaux publiés en 1988 dans la célèbre revue anglaise Nature
Alors que j’ai démontré dès 1978, il y a donc maintenant quarante années, que la nicotine présente dans la fumée de tabac active et passive était à l’origine de ma dermatite familiale, une dermite soi-disant séborrhéique…, certains chercheurs semblent aller prudemment mais sûrement dans ma direction.
Depuis les années soixante et soixante-dix, les corticoïdes locaux ont été largement prescrits en dermatologie pour traiter les symptômes locaux de dermatites atopiques, de dermites séborrhéiques et d’autres syndromes dermatologiques d’étiologie inconnue.
Récemment dans la revue « Dermatology », des chercheurs viennent une fois de plus de démontrer la relation entre la fumée de tabac passive dans les locaux privés et l’apparition de dermatites atopiques d’adolescents et spécialement de jeunes adolescentes.