La salle “Pino Solanas” fut inaugurée ce lundi 31 octobre avec la projection du film "Argentina, 1985" de Santiago Mitre. Parmi les invités, le cinéaste Gaspar Noé et le neveu de Pino, Facundo Solanas.
Le 22 août 1972 dans la ville de Trelew, 19 militants révolutionnaires (14 hommes et 5 femmes) furent fusillés de sang froid par ordre du général Alejandro Agustín Lanusse. Trois ont survécu malgré leurs blessures et ont pu raconter le massacre. Quatre membres de la Marine, auteurs directs des assassinats ont été condamnés et emprisonnés.
La revue qui couvrit les 63 semaines précédant la plus brutale des dictatures militaires argentines et qui trouva, trente ans plus tard, un écho en Afghanistan.
Cela fait 189 ans que les les Îles Malouines ont été occupées illégalement par les Britanniques. Héritées du royaume d’Espagne lors de son indépendance en 1810, l’Argentine continue à réclamer leur souveraineté depuis l’usurpation en 1833. 40 ans de détresse inouïe des anciens combattants.
Malgré la défaite cuisante aux élections primaires ouvertes, simultanées et obligatoires du 12 septembre, le gouvernement de Alberto Fernández a réussi à « sauver les meubles » lors des législatives partielles nationales du 14 novembre.
L’écrivain, sociologue et ancien directeur de la Bibliothèque Nationale Argentine est décédé hier, mardi 22 juin, à l'âge de 77 ans, des suites d'une infection nosocomiale après avoir vaincu le coronavirus.
"Il n'est pas possible d'être à la fois un État juif, avoir un caractère démocratique et garder le contrôle sur tous les territoires et toutes les populations qu'il domine." Texte de Haizam Amirah Fernández.
Des anciens réfugiés politiques et exilés latino-américains, ayant pressenti et vécu de nombreux coups d’État aux conséquences tragiques dans leurs pays, ont été sidérés par la lettre des militaires français incitant à la sédition. Ils lancent à leur tour un appel à défendre la démocratie.
Face à la recrudescence de la pandémie, le président argentin a décrété le vendredi 16 avril la suspension des classes en présentiel dans la zone métropolitaine de Buenos Aires (AMBA) jusqu’au 30 avril. Le maire de la ville de Buenos Aires, Rodriguez Larreta, (macriste), s’est opposé en appelant à un tribunal municipal qui lui donne raison. En toute illégalité constitutionnelle.