Le 24 mars 1976, la dernière dictature la plus sanglante de l’histoire argentine, installa le terrorisme d’État. Les organisations de défense de Droits humains, faute de pouvoir remplir les rues comme d’autres années à cause de la pandémie, ont appelé à commémorer cette date en plantant des arbres en souvenir des 30 000 disparus.
Déclaration de l'Internationale Progressiste: "Le peuple équatorien décide de son avenir. Les forces réactionnaires - en Équateur et dans toute la région - complotent contre elle. Nous demandons à la communauté internationale de faire preuve de vigilance, de solidarité et de défense de la souveraineté populaire."
Cinq mois après la mutinerie policière du 9 septembre 2020, qui s'est terminée par la manifestation de troupes armées à l'entrée de la Quinta de Olivos (résidence officielle du président Alberto Fernández), le Ministère de la Sécurité de Buenos Aires a désaffecté plus de 400 policiers qui avaient participé à cette manifestation.
Le musicien argentin fut le créateur de classiques tels que "Canción con todos" et "Canción de las simples cosas", entre autres. Il a construit une longue carrière solo après avoir quitté le groupe folklorique "Los Fronterizos". Il avait 82 ans et souffrait de problèmes cardiaques.
Plus de 1 600 dirigeants politiques, sociaux, syndicaux et des droits de l'homme argentins ont réclamé, par le biais d'une lettre publié dans plusieurs journaux, la liberté immédiate de Milagro Sala en désignant Gerardo Morales, le gouverneur de la province de Jujuy, comme responsable de sa persécution.
Le 10 décembre, un an jour pour jour du démarrage de la présidence de Alberto Fernández , une très nette majorité de députés a voté le projet de loi pour l’IVG. Ce vote a coïncidé également avec la commémoration de la journée internationale de droits humains.
Cinéaste, intellectuel, militant politique, Ambassadeur en charge de la Délégation Argentine auprès de l'UNESCO à Paris, Pino Solanas est décédé la nuit du vendredi 6 novembre après plusieurs semaines d'hospitalisation. Il avait contracté le coronavirus.
Le 2 octobre, l'Internationale Progressiste a tenu le Tribunal Belmarsh pour enquêter et évaluer les crimes de guerre américains au 21e siècle et défendre le droit de Julian Assange de les divulguer.
L'écrivaine argentine Alicia Dujovne Ortiz me fait parvenir cette tribune alors que la situation se dégrade en Bolivie. Des élections sont prévues le 18 octobre dans un pays en pleine crise politique où trois ministres viennent de démissionner et la présidente de facto, Jeanine Añez a décidé de ne plus se représenter.