[Initialement, il s’agissait de mon commentaire au billet suivant : autisme réflexions / références. Au final, le texte s’est avéré trop long. J’ai donc décidé de le publier sous forme de billet de blog. Il ne s’agit pas pour moi de faire un énième billet sur la question ; des tas de gens bien plus savants se sont exprimés à merveille sur le sujet. Je ne souhaitais tout simplement pas « pourrir » le fil des commentaires par un message trop long. L’amorce du billet se présente donc comme un commentaire d’article. Merci de votre attention.]
Je me souviens de ma première journée du 8 mars, "journée des femmes". Je venais de me faire embaucher comme petite-main (je HAIS cette expression, je pourrais en faire un billet un jour) au service RH de Tartampion SA, en contrat de qualif'. J'avais 22 ans. Ce jour-là, ma boss, la DRH de la boite, avait fait livrer des roses au bureau et en avait distribué à toutes les femmes de l'entreprise.
Mea culpa. Le titre de mon précédent billet laissait entendre qu'une suite était à venir très prochainement. Malheureusement, les fêtes de noël – aaaaah les fêtes de noël !!! (je vous laisse le soin d’y mettre l’intonation de votre choix) – puis un début d’année un peu corsé niveau boulot ont suffit à balayer mes bonnes résolutions.De l’eau a coulé sous les ponts depuis. Mais il ne sera pas dit pour autant que je ne vous livrerez pas – même tardivement – ma p’tite indignation 2/2.
En pérégrination au supermarché du « coin de par chez moi », j’ai soudain l’idée saugrenue de chercher un peu de littérature pour ma chère Tigrounette.C’est que du haut de ses quatorze pâquerettes, elle dévore ses livres… au sens propre. Même les bouquins en carton plastifié garantis « baby resist » finissent par rendre l’âme au bout de quelques semaines face à l’enthousiasme débordant des quenottes de sa Majesté.
A n'en pas douter, Sophie Robert savait que son documentaire « Le Mur ou la psychanalyse à l'épreuve de l'autisme »n'allait pas être accueilli cordialement par la congrégation des psychanalystes français. Mais de là à tâcher d'en faire carrément interdire la diffusion..
Résumé de l'intrigue : Jérémie “Jerry” Fortuna est un jeune homme passablement déprimé. A 27 ans, il se sait victime d'une terrible malédiction : une chance proprement insolente qui, contre toute attente, lui complique singulièrement l'existence.
L’Homme (comprenez : le mien) a de nombreuses qualités. Entre autre une excellente capacité à manier les chiffres, doublée d’un sens de l’observation aigu en plus d’être parfaitement à l’aise avec les volumes. C’est donc tout naturellement lui (QUÆ SUNT CÆSARIS, CÆSARI, toussa toussa…) qui remarqua le premier la mystérieuse disparition.
Résumé de l'intrigue : Jérémie “Jerry” Fortuna est un jeune homme passablement déprimé. A 27 ans, il se sait victime d'une terrible malédiction : une chance proprement insolente qui, contre toute attente, lui complique singulièrement l'existence.
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