Pendant un quart de siècle les présidents successifs de Renault nous ont vendu une potion magique, l’Alliance, qui au fil du temps s’est transformée en un breuvage qui s’avère être indigeste, voire empoisonné.
L'annonce par Renault de la création de deux filiales l’une qui regrouperait les motorisations thermiques et hybrides, l’autre les véhicules électriques oblige à revoir son statut comme constructeur automobile.
L’annonce par Renault de la séparation de ses activités thermiques et hybrides de celles dévolues au véhicule électrique et leur cession à des « partenaires » préfigure une remise à plat de la stratégie de l’entreprise. Pourtant le groupe est peu loquace quant à son avenir lorsqu’il effleure cette stratégie.
QUAND RENAULT SIGNE LA FIN DE L’ALLIANCE
L’annonce par Renault de la séparation de ses activités thermiques et hybrides de celles dévolues au véhicule électrique et leur cession à des « partenaires » préfigure une remise à plat de la stratégie de l’entreprise. Pourtant le groupe est peu loquace quant à son avenir lorsqu’il effleure cette stratégie
L’annonce par Renault de la séparation de ses activités thermiques et hybrides de celles dévolues au véhicule électrique et leur cession à des « partenaires » préfigure une remise à plat de la stratégie de l’entreprise.
l’« Passent les jours et passent les semaines » et … l’affaire Carlos Ghosn sombre dans oubli. Sauf retournement de situation nous ne connaîtrons pas de sitôt la vérité sur les accusations qui ont conduit celui-ci vers la déchéance.
Nous avons critiqué à diverses reprises la stratégie de Carlos Ghosn. Celle qui se dessine est du même acabit en modèle miniature. Hier on parlait d’empire aujourd’hui le champ se réduit à une province
L’accusation de trahison proférée par Monsieur Ghosn à l’encontre de Nissan trouve son explication dans la liste des « avantages » octroyés au japonais dont on saurait bien en peine de l’équivalent pour Renault :