Largement commenté, pour ne pas dire critiqué, produit d’un compromis l’accord du 13 mars 2013 sur la compétitivité s’il a permis d’offrir un sursis aux sites de fabrication et de montage en France n’aura pas été sans incidence pour les salariés qui ont été largement mis à contribution. Il faut croire que les résultats attendus sont là puisque la Direction envisage un nouvel accord.
« Les principes fondateurs de l’Alliance sont régis par des principes fondamentaux d’équilibre et de synergie entre les deux entreprises mondiales. La stratégie menée par Carlos Ghosn suit une vision très personnelle qu’il semble avoir de l’avenir de l’Alliance. Les deux groupes, Nissan comme Renault, pour n’être que des moyens pour atteindre ses propres objectifs"
« Les principes fondateurs de l’Alliance sont régis par des principes fondamentaux d’équilibre et de synergie entre les deux entreprises mondiales. La stratégie menée par Carlos Ghosn suit une vision très personnelle qu’il semble avoir de l’avenir de l’Alliance. Les deux groupes, Nissan comme Renault, pour n’être que des moyens pour atteindre ses propres objectifs"
Si telle en est la raison de l’accord, ce qui semble le cas, ce n’est plus un hold-up c’est un putsch à froid ! En caricaturant il suffirait que Carlos Ghosn dans son costume de PDG de Renault propose à son alter ego de Nissan une « résolution » que ce dernier dans un bel élan refuse, pour que le constructeur japonais contrôle l’Alliance ? Délire ? c’est à voir !
Si telle en est la raison de l’accord, ce qui semble le cas, ce n’est plus un hold-up c’est un putsch à froid ! En caricaturant il suffirait que Carlos Ghosn dans son costume de PDG de Renault propose à son alter ego de Nissan une « résolution » que ce dernier dans un bel élan refuse, pour que le constructeur japonais contrôle l’Alliance ? Délire ? c’est à voir !
La prochaine assemblée des actionnaires de RENAULT devrait-être une formalité pour son PDG. Ce bilan Monsieur GHOSN saura, n’en doutons pas, le partager avec le conseil d’administration de Renault lequel peut être associé à la bonne gouvernance du groupe NISSAN, dont il a su représenter les intérêts, que cela soit au détriment du groupe RENAULT ne semble pas l’émouvoir.
D’après ce qui transpire les résultats sur les Renault posent question. Des défauts techniques ont été décelés, qui vont d’une simple remise à niveau à des défaillances qui mettent en cause les niveaux de décision de l’entreprise. A ce stade il est légitime de se demander depuis quand le groupe connaissait-il ces problèmes ? Quelle est l’ampleur exacte des lacunes du système de dépollution ? Le co
D’après ce qui transpire les résultats sur les Renault posent question. Des défauts techniques ont été décelés, qui vont d’une simple remise à niveau à des défaillances qui mettent en cause les niveaux de décision de l’entreprise. A ce stade il est légitime de se demander depuis quand le groupe connaissait-il ces problèmes ? Quelle est l’ampleur exacte des lacunes du système de dépollution ? Le co