Combien faudra-t-il de drames humains comme Sivens pour que l’on comprenne enfin que les Conseils généraux doivent disparaître corps et biens ? Conçus rationnellement en 1790 pour gérer une France rurale, outils d’un système politique soucieux de centralisation afin de faire prévaloir l’intérêt général sur les vieux particularismes provinciaux, ils obéissaient à une logique d’unité nationale et d’égalité. Ils sont aujourd’hui totalement inadaptés, économiquement, socialement et politiquement.
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